La Coalition nationale contre les usines de farine et d’huile de poisson, en partenariat avec Greenpeace Afrique, a lancé une caravane de sensibilisation dans les zones littorales fortement affectées par l’implantation d’unités industrielles étrangères.
L’étape de Mambara a donné lieu à une rencontre entre militants écologistes, populations locales et membres du collectif des impactés. Parmi eux, Amadou Camara, représentant du Gandiolais, a dénoncé les conséquences désastreuses de l’usine chinoise implantée dans la localité.
« Vous avez entendu le cri de cœur des populations. Ces usines causent de graves dégâts sanitaires et environnementaux », a-t-il déclaré.
Selon lui, ces installations n’apportent aucun bénéfice local. « La farine et l’huile sont exportées. Ce qu’elles laissent ici, c’est la pourriture », a ajouté M. Camara.
Il a aussi pointé du doigt l’impact sur la sécurité alimentaire et la survie économique des femmes transformatrices de poisson, privées de leur matière première par la pêche industrielle. « Elles encouragent l’insécurité alimentaire et une concurrence déloyale », a laissé entendre l'activiste écologique.
Greenpeace et la coalition entendent, à travers cette dynamique, faire pression sur les autorités pour une régulation stricte de ces activités industrielles, souvent menées sans études d’impact sérieuses, ni concertation avec les communautés locales.
L’étape de Mambara a donné lieu à une rencontre entre militants écologistes, populations locales et membres du collectif des impactés. Parmi eux, Amadou Camara, représentant du Gandiolais, a dénoncé les conséquences désastreuses de l’usine chinoise implantée dans la localité.
« Vous avez entendu le cri de cœur des populations. Ces usines causent de graves dégâts sanitaires et environnementaux », a-t-il déclaré.
Selon lui, ces installations n’apportent aucun bénéfice local. « La farine et l’huile sont exportées. Ce qu’elles laissent ici, c’est la pourriture », a ajouté M. Camara.
Il a aussi pointé du doigt l’impact sur la sécurité alimentaire et la survie économique des femmes transformatrices de poisson, privées de leur matière première par la pêche industrielle. « Elles encouragent l’insécurité alimentaire et une concurrence déloyale », a laissé entendre l'activiste écologique.
Greenpeace et la coalition entendent, à travers cette dynamique, faire pression sur les autorités pour une régulation stricte de ces activités industrielles, souvent menées sans études d’impact sérieuses, ni concertation avec les communautés locales.