
Le Directeur général de l’Agence nationale des affaires maritimes (ANAM), Bécaye Diop, a souligné la nécessité de mener des études dynamiques et intégrales afin de proposer une solution durable à l’élargissement progressif de la brèche de Saint-Louis, un phénomène naturel à l’origine de nombreux chavirements de pirogues de pêcheurs.
« Est-ce qu’on doit continuer à regarder la brèche s’élargir ? Nous sommes tous d’accord que la solution ne réside pas dans l’inaction. Il faut mener des études sérieuses pour identifier une réponse structurelle au problème », a déclaré M. Diop lors d’un point de presse tenu vendredi, en marge d’une visite de prise de contact de trois jours (du 6 au 9 mai) avec le personnel de la Circonscription maritime nord (CIRCAM) basée à Saint-Louis.
Revenant sur l’origine du phénomène, il a rappelé que la brèche avait été initialement ouverte en 2003 pour évacuer les eaux pluviales, avec une largeur de 4 mètres.
« Deux jours après, elle était déjà à 80 mètres. Trois semaines plus tard, à 300 mètres, puis 800 mètres au bout de huit mois. Aujourd’hui, elle dépasse un kilomètre », a-t-il noté.
Dans ce contexte, l’ANAM multiplie les échanges avec des partenaires techniques, notamment des experts néerlandais, afin de définir des pistes d’intervention.
« Un partenariat a été signé récemment dans le domaine de l’environnement, et une nouvelle réunion est prévue la semaine du 19 mai avec la partie néerlandaise », a-t-il ajouté.
L’objectif de ces discussions est d’aboutir à des études rigoureuses, qui seront ensuite transmises aux autorités compétentes pour décision.
« Ce qui est certain, c’est que la brèche ne peut être laissée sans action », a insisté le Directeur général.
Lors de sa visite, Bécaye Diop a pu constater l’ampleur du danger, en observant notamment de nombreuses pirogues traverser la brèche sans protection, exposant les pêcheurs à de risques élevés.
Il a souligné la nécessité de renforcer les mesures de sécurité maritime dans la région, notamment à travers des sessions de formation et des campagnes de sensibilisation destinées aux acteurs de la pêche.
Au cours de son séjour, le DG de l’ANAM a visité plusieurs sites stratégiques, dont la brèche, le phare de Gandiol, et l’île de Bopp Thior.
Avec APS
« Est-ce qu’on doit continuer à regarder la brèche s’élargir ? Nous sommes tous d’accord que la solution ne réside pas dans l’inaction. Il faut mener des études sérieuses pour identifier une réponse structurelle au problème », a déclaré M. Diop lors d’un point de presse tenu vendredi, en marge d’une visite de prise de contact de trois jours (du 6 au 9 mai) avec le personnel de la Circonscription maritime nord (CIRCAM) basée à Saint-Louis.
Revenant sur l’origine du phénomène, il a rappelé que la brèche avait été initialement ouverte en 2003 pour évacuer les eaux pluviales, avec une largeur de 4 mètres.
« Deux jours après, elle était déjà à 80 mètres. Trois semaines plus tard, à 300 mètres, puis 800 mètres au bout de huit mois. Aujourd’hui, elle dépasse un kilomètre », a-t-il noté.
Dans ce contexte, l’ANAM multiplie les échanges avec des partenaires techniques, notamment des experts néerlandais, afin de définir des pistes d’intervention.
« Un partenariat a été signé récemment dans le domaine de l’environnement, et une nouvelle réunion est prévue la semaine du 19 mai avec la partie néerlandaise », a-t-il ajouté.
L’objectif de ces discussions est d’aboutir à des études rigoureuses, qui seront ensuite transmises aux autorités compétentes pour décision.
« Ce qui est certain, c’est que la brèche ne peut être laissée sans action », a insisté le Directeur général.
Lors de sa visite, Bécaye Diop a pu constater l’ampleur du danger, en observant notamment de nombreuses pirogues traverser la brèche sans protection, exposant les pêcheurs à de risques élevés.
Il a souligné la nécessité de renforcer les mesures de sécurité maritime dans la région, notamment à travers des sessions de formation et des campagnes de sensibilisation destinées aux acteurs de la pêche.
Au cours de son séjour, le DG de l’ANAM a visité plusieurs sites stratégiques, dont la brèche, le phare de Gandiol, et l’île de Bopp Thior.
Avec APS