ACCUEIL
En Assemblée générale, ce mardi, les camarades Birima Ndiaye ont listé les maux qui gangrènent le bon fonctionnement du Crous et déclarent que « depuis l'arrivée du nouveau directeur, rien ne marche dans la maison. Il a recruté des soient distants experts qui, depuis leur installation n'ont gagné aucun marché pour le Crous ».
Pour eux, le directeur cherche à se dédouaner en avançant des "prétextes farfelus et insensés".« Aucune réalisation importante n'a été faite depuis la nomination de Birame Ndeck Ndiaye. Il ne respecte pas le personnel et essaie d'imposer une gestion unitaire que nous n'accepterons pas. En plus, il veut nous mettre en mal avec les étudiants et l'opinion. Si les étudiants sont satisfaits de sa gestion, c'est bien grâce aux travailleurs qu'il cherche à dénigrer », disent-ils.
« C'est nous, syndicalistes qui avons démarché et obtenu une ambulance médicalisée et bénéfice des étudiants et des populations riveraines. Aujourd'hui, il n'est même pas capable d'acheter de nouveaux pneus pour ce véhicule cloué au sol par manque d'entretien. Il ne veut même pas verser un franc au centre médico-social des travailleurs pour leur santé », crie Masseck Ngom qui explique la colère de ses camarades est arrivée à son summum.
Décidés à poursuivre le combat jusqu'au bout e leur protestation, ils ont décrété 48 heures de grève renouvelable.
Ndarinfo.com
Pour eux, le directeur cherche à se dédouaner en avançant des "prétextes farfelus et insensés".« Aucune réalisation importante n'a été faite depuis la nomination de Birame Ndeck Ndiaye. Il ne respecte pas le personnel et essaie d'imposer une gestion unitaire que nous n'accepterons pas. En plus, il veut nous mettre en mal avec les étudiants et l'opinion. Si les étudiants sont satisfaits de sa gestion, c'est bien grâce aux travailleurs qu'il cherche à dénigrer », disent-ils.
« C'est nous, syndicalistes qui avons démarché et obtenu une ambulance médicalisée et bénéfice des étudiants et des populations riveraines. Aujourd'hui, il n'est même pas capable d'acheter de nouveaux pneus pour ce véhicule cloué au sol par manque d'entretien. Il ne veut même pas verser un franc au centre médico-social des travailleurs pour leur santé », crie Masseck Ngom qui explique la colère de ses camarades est arrivée à son summum.
Décidés à poursuivre le combat jusqu'au bout e leur protestation, ils ont décrété 48 heures de grève renouvelable.
Ndarinfo.com
