L’étudiante Adama Sarr vient de publier ”Les épines du destin”, un roman édité par Ganndàl Afrik, dans lequel elle retrace une partie de son parcours intérieur et partage un univers nourri de réflexions personnelles et spirituelles.
Dans un entretien accordé à l’APS, l’auteure, étudiante en Master 2 Communication à l’Université Gaston Berger (UGB) de Saint-Louis, affirme que ce premier roman ’’lui tient particulièrement à cœur’’.
”C’est un livre qui évoque ces moments où l’on a l’impression que la vie nous teste, où les obstacles paraissent plus grands que nous. Mais ce sont justement ces instants qui révèlent chez certains la force d’avancer’’, a-t-elle expliqué.
Elle souligne que chaque personnage du roman ’’affronte ses propres épines”, composées de choix difficiles, d’obstacles ou d’erreurs. ”Chacun transmet, à sa manière, une leçon de vie”, a-t-elle dit, ajoutant que l’ouvrage aborde aussi une dimension religieuse liée à la notion de destin et de volonté divine.
Selon elle, plusieurs thèmes traversent le récit, parmi lesquels l’intelligence émotionnelle, la conscience des jeunes générations, le rapport à l’argent ou encore la confiance en soi.
Un extrait de la préface évoque une rencontre fortuite qui scelle une amitié durable entre deux personnages, Penda et Bouba, confrontés très tôt aux difficultés de l’existence. L’auteure y interroge leur capacité à ”changer le cours des choses” et à ”écrire leur propre histoire”, ou à se laisser submerger par le destin.
La préface cite également le verset coranique ”Lakhad khalakhnâ al-insâna fî kabad” (”Nous avons créé l’homme dans la difficulté”), pour illustrer les récits mettant en scène Penda, Bouba et Ouly, personnages issus de milieux variés et confrontés aux réalités de la jalousie, de la trahison, de la concurrence ou encore de l’amour.
Originaire de Diofior, Adama Sarr dit avoir été profondément influencée par son éducation au sein d’une famille religieuse et conservatrice. Une note biographique la décrit comme ”communicante, oratrice, passionnée d’écriture et de lecture”, des domaines qui lui offrent ”une échappée vers l’univers des idées”.
Âgée de 23 ans, elle est titulaire d’une licence en Communication publique, politique et développement durable de l’UGB.
APS
Dans un entretien accordé à l’APS, l’auteure, étudiante en Master 2 Communication à l’Université Gaston Berger (UGB) de Saint-Louis, affirme que ce premier roman ’’lui tient particulièrement à cœur’’.
”C’est un livre qui évoque ces moments où l’on a l’impression que la vie nous teste, où les obstacles paraissent plus grands que nous. Mais ce sont justement ces instants qui révèlent chez certains la force d’avancer’’, a-t-elle expliqué.
Elle souligne que chaque personnage du roman ’’affronte ses propres épines”, composées de choix difficiles, d’obstacles ou d’erreurs. ”Chacun transmet, à sa manière, une leçon de vie”, a-t-elle dit, ajoutant que l’ouvrage aborde aussi une dimension religieuse liée à la notion de destin et de volonté divine.
Selon elle, plusieurs thèmes traversent le récit, parmi lesquels l’intelligence émotionnelle, la conscience des jeunes générations, le rapport à l’argent ou encore la confiance en soi.
Un extrait de la préface évoque une rencontre fortuite qui scelle une amitié durable entre deux personnages, Penda et Bouba, confrontés très tôt aux difficultés de l’existence. L’auteure y interroge leur capacité à ”changer le cours des choses” et à ”écrire leur propre histoire”, ou à se laisser submerger par le destin.
La préface cite également le verset coranique ”Lakhad khalakhnâ al-insâna fî kabad” (”Nous avons créé l’homme dans la difficulté”), pour illustrer les récits mettant en scène Penda, Bouba et Ouly, personnages issus de milieux variés et confrontés aux réalités de la jalousie, de la trahison, de la concurrence ou encore de l’amour.
Originaire de Diofior, Adama Sarr dit avoir été profondément influencée par son éducation au sein d’une famille religieuse et conservatrice. Une note biographique la décrit comme ”communicante, oratrice, passionnée d’écriture et de lecture”, des domaines qui lui offrent ”une échappée vers l’univers des idées”.
Âgée de 23 ans, elle est titulaire d’une licence en Communication publique, politique et développement durable de l’UGB.
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