
La Vallée du fleuve Sénégal (VFS) étant la première zone de riziculture irriguée, il s’avère nécessaire d’étudier les voies et moyens pour y développer et rendre durable la pratique de la riziculture. C’est ainsi qu’un plan directeur a été conçu pour servir de référence à tous les acteurs et partenaires afin de fortifier et pérenniser le développement de la riziculture.
« Ce plan est l’expression de la volonté des autorités de prendre en compte les préoccupations de l’ensemble des acteurs de la filière », a déclaré Samba Ndiobène Ka, Directeur général de la Société nationale d’Aménagement et d’Exploitation des terres du Delta du fleuve Sénégal (SAED). Pour lui, ceci permettra de construire une union partagée de développement de l’agriculture irriguée dans la vallée du fleuve et d’arriver à une meilleure coordination des interventions. Cette partie du Sénégal présente toute la caractéristique d’une grande région de productions agricoles.
D’après M. Ka, la mise en œuvre des programmes composés dans le plan directeur renforce plus les moyens d’actions de la SAED et de ses collaborateurs de meilleurs services aux différentes catégories de la filière. « Il me plait de magnifier la parfaite collaboration entre la Saed et les experts du projet d’amélioration de la productivité du riz dans les aménagements hydro-agricoles de la vallée du fleuve Sénégal (PAPRIZ), financé par la coopération japonaise qui a permis l’élaboration de cette stratégie de développement basée sur les besoins du secteur rizicole », a-t-il soutenu.
Selon Ousseynou Ndiaye, président du comité interprofessionnel de la filière riz au Sénégal, cette filière évolue très positivement. « On voit qu’il y a une amélioration de l’environnement de la filière avec une bonne commercialisation du riz local et on est en train de faire une réalisation sur l’atteinte des objectifs de l’autosuffisance en riz », a expliqué M. Ndiaye. A l’en croire, ils sont en train de voir comment lever toutes les contraintes qu’ils rencontrent dans le développement de la riziculture, notamment les aménagements mais aussi le décorticage. Pour mieux vendre le riz local, il faut de la qualité.
Sur ce plan, dira le président du comité interprofessionnel de la filière riz au Sénégal, les choses ont beaucoup évolué. « On était à un taux de décorticage de 70% du riz brisé et 30% de celui entier. Avec l’amélioration du plateau technique des rizeries, aujourd’hui on a renversé la tendance. Le taux du riz entier est à 70% et 30% du riz brisé », a-t-il indiqué. Selon lui, il faut satisfaire la demande en riz entier au niveau national en suspendant les importations sur le riz entier.
REWMI
« Ce plan est l’expression de la volonté des autorités de prendre en compte les préoccupations de l’ensemble des acteurs de la filière », a déclaré Samba Ndiobène Ka, Directeur général de la Société nationale d’Aménagement et d’Exploitation des terres du Delta du fleuve Sénégal (SAED). Pour lui, ceci permettra de construire une union partagée de développement de l’agriculture irriguée dans la vallée du fleuve et d’arriver à une meilleure coordination des interventions. Cette partie du Sénégal présente toute la caractéristique d’une grande région de productions agricoles.
D’après M. Ka, la mise en œuvre des programmes composés dans le plan directeur renforce plus les moyens d’actions de la SAED et de ses collaborateurs de meilleurs services aux différentes catégories de la filière. « Il me plait de magnifier la parfaite collaboration entre la Saed et les experts du projet d’amélioration de la productivité du riz dans les aménagements hydro-agricoles de la vallée du fleuve Sénégal (PAPRIZ), financé par la coopération japonaise qui a permis l’élaboration de cette stratégie de développement basée sur les besoins du secteur rizicole », a-t-il soutenu.
Selon Ousseynou Ndiaye, président du comité interprofessionnel de la filière riz au Sénégal, cette filière évolue très positivement. « On voit qu’il y a une amélioration de l’environnement de la filière avec une bonne commercialisation du riz local et on est en train de faire une réalisation sur l’atteinte des objectifs de l’autosuffisance en riz », a expliqué M. Ndiaye. A l’en croire, ils sont en train de voir comment lever toutes les contraintes qu’ils rencontrent dans le développement de la riziculture, notamment les aménagements mais aussi le décorticage. Pour mieux vendre le riz local, il faut de la qualité.
Sur ce plan, dira le président du comité interprofessionnel de la filière riz au Sénégal, les choses ont beaucoup évolué. « On était à un taux de décorticage de 70% du riz brisé et 30% de celui entier. Avec l’amélioration du plateau technique des rizeries, aujourd’hui on a renversé la tendance. Le taux du riz entier est à 70% et 30% du riz brisé », a-t-il indiqué. Selon lui, il faut satisfaire la demande en riz entier au niveau national en suspendant les importations sur le riz entier.
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