La pression internationale monte contre Israël, avec l'appel à une écrasante majorité de l'Assemblée générale des Nations Unies à un "cessez-le-feu humanitaire" dans la bande de Gaza, devenue "l'enfer sur terre" selon l'ONU.
Et pour la première fois depuis le début de la guerre, le président américain Joe Biden a critiqué publiquement le gouvernement israélien pour son opposition à une "solution à deux États" et l'a mis en garde contre une érosion du soutien de l'opinion publique mondiale à cause de ses bombardements "aveugles" sur Gaza.
Prenant le relais d'un Conseil de sécurité paralysé, l'Assemblée générale de l'ONU a réclamé mardi "un cessez-le-feu humanitaire immédiat", dans une résolution adoptée par 153 voix pour, 10 contre, et 23 abstentions. Mais le texte, non-contraignant, ne condamne pas le Hamas, une absence fustigée par Israël et les États-Unis qui ont voté contre.
L'ambassadrice des États-Unis aux Nations Unies, Linda Thomas-Greenfield, s'exprime avant le vote de l'Assemblée générale des Nations Unies sur une résolution appelant Israël à respecter ses obligations juridiques et humanitaires dans sa guerre contre le Hamas, le mardi 12 décembre 2023 au siège de l'ONU.
"Pourquoi est-ce si difficile de dire sans équivoque que tuer des bébés et abattre des parents devant leurs enfants est horrible ?", a lancé l'ambassadrice américaine Linda Thomas-Greenfield.
Et pour la première fois depuis le début de la guerre, le président américain Joe Biden a critiqué publiquement le gouvernement israélien pour son opposition à une "solution à deux États" et l'a mis en garde contre une érosion du soutien de l'opinion publique mondiale à cause de ses bombardements "aveugles" sur Gaza.
Prenant le relais d'un Conseil de sécurité paralysé, l'Assemblée générale de l'ONU a réclamé mardi "un cessez-le-feu humanitaire immédiat", dans une résolution adoptée par 153 voix pour, 10 contre, et 23 abstentions. Mais le texte, non-contraignant, ne condamne pas le Hamas, une absence fustigée par Israël et les États-Unis qui ont voté contre.
L'ambassadrice des États-Unis aux Nations Unies, Linda Thomas-Greenfield, s'exprime avant le vote de l'Assemblée générale des Nations Unies sur une résolution appelant Israël à respecter ses obligations juridiques et humanitaires dans sa guerre contre le Hamas, le mardi 12 décembre 2023 au siège de l'ONU.
"Pourquoi est-ce si difficile de dire sans équivoque que tuer des bébés et abattre des parents devant leurs enfants est horrible ?", a lancé l'ambassadrice américaine Linda Thomas-Greenfield.