La coordonnatrice du Projet d’Appui à la Micro Entreprise Rurale dans la vallée du Fleuve Sénégal (Pamir) a insisté sur le rôle « fondamental » que les entreprises sociales peuvent jouer dans l’amélioration des conditions de vie de populations et notamment dans la réussite des initiatives agricoles, en expliquant que ces structures « opèrent pour le bien commun plutôt intérêt de quelques-unes ».
« L’intérêt général est au cœur de ces entreprises qui doivent être performantes pour avoir un impact positif », a indiqué, jeudi, Irene MAINA qui s’exprimait en marge d’une présentation du Centre d’Appui à la Promotion de l’Entrepreneuriat rural – Société par Action Simplifiée (CAPER – SAS).
En a croire Mme MAINA, les entreprises sociales constituées autour du Caper, « peuvent devenir des partenaires indispensables pour répondre aux besoins sociaux complexes ».
La coordonnatrice soutient que le Caper, porté par l’ONG italienne Cisv et l’Asescaw, « ne va pas bâtir sa richesse en polluant le WALO, en exploitant la main-d’œuvre ou en spoliant la terre. Il s’agir de faire du business social pour trouver des solutions à ce problème ».
Dès lors, le projet décline, dans sa démarche, un modèle d’un développement durable inclusif est possible.
Djibril DIAO, président du Caper Sas, s’est félicité de cette première rencontre avec la presse, en estimant que ces échanges posent les premiers pas posés d’un plaidoyer sur ces types d’entreprises qui lèvent les « contraintes d’exigences » qui pèsent sur autres, orientées vers la recherche du profit au détriment de la prise en charge de l’aspect social.
« Nous allons générer des excédants qui seront réinjectés au niveau des communautés. À la suite de l’examen de la rentabilité, un appel au projet sera alors lancé et les associés viennent proposés à financement des projets pour Caper », a-t-il, avant de révéler que le Caper polarise une centaine de microentreprises.
« Chaque entreprise qui intègre l’union devient actionnaire et prend sa place dans le Conseil de décision », note M. DIAO, en assurant que le Caper ambitionne, dans un premier temps, de produire 25 de francs CFA millions de chiffre d’affaires.
NDARINFO.COM
« L’intérêt général est au cœur de ces entreprises qui doivent être performantes pour avoir un impact positif », a indiqué, jeudi, Irene MAINA qui s’exprimait en marge d’une présentation du Centre d’Appui à la Promotion de l’Entrepreneuriat rural – Société par Action Simplifiée (CAPER – SAS).
En a croire Mme MAINA, les entreprises sociales constituées autour du Caper, « peuvent devenir des partenaires indispensables pour répondre aux besoins sociaux complexes ».
La coordonnatrice soutient que le Caper, porté par l’ONG italienne Cisv et l’Asescaw, « ne va pas bâtir sa richesse en polluant le WALO, en exploitant la main-d’œuvre ou en spoliant la terre. Il s’agir de faire du business social pour trouver des solutions à ce problème ».
Dès lors, le projet décline, dans sa démarche, un modèle d’un développement durable inclusif est possible.
Djibril DIAO, président du Caper Sas, s’est félicité de cette première rencontre avec la presse, en estimant que ces échanges posent les premiers pas posés d’un plaidoyer sur ces types d’entreprises qui lèvent les « contraintes d’exigences » qui pèsent sur autres, orientées vers la recherche du profit au détriment de la prise en charge de l’aspect social.
« Nous allons générer des excédants qui seront réinjectés au niveau des communautés. À la suite de l’examen de la rentabilité, un appel au projet sera alors lancé et les associés viennent proposés à financement des projets pour Caper », a-t-il, avant de révéler que le Caper polarise une centaine de microentreprises.
« Chaque entreprise qui intègre l’union devient actionnaire et prend sa place dans le Conseil de décision », note M. DIAO, en assurant que le Caper ambitionne, dans un premier temps, de produire 25 de francs CFA millions de chiffre d’affaires.
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