Au Vatican, l’attente continue. Ce jeudi 8 mai 2025, à la mi-journée, une fumée noire s’est une nouvelle fois échappée de la cheminée de la chapelle Sixtine, signalant que les cardinaux réunis en conclave n’ont toujours pas réussi à élire le successeur du pape François, décédé le 21 avril dernier. Les deux premiers tours de scrutin, menés dans la matinée, se sont soldés par un échec.
Sous les regards attentifs de milliers de fidèles et de curieux rassemblés place Saint-Pierre, l'apparition de cette fumée sombre a suscité des soupirs de déception, rapportent les envoyés spéciaux. « Jusqu’à ce que nous ayons un pape, je serai là, quoi qu’il arrive ! », témoigne le père Joseph, un Tanzanien d'une trentaine d'années, étudiant à Rome. Comme lui, de nombreux jeunes croyants africains suivent chaque vote avec ferveur.
« Ce que j’aimerais pour l’Église catholique, c’est qu’elle œuvre davantage pour la paix, notamment en Afrique, au Congo, et pour la réconciliation entre les peuples », confie Guillaume Semugisha, un étudiant burundais en théologie, également présent sur la place.
Le conclave, ritualisé et très codifié, s’est ouvert dans la chapelle Sixtine sous les célèbres fresques de Michel-Ange. Les 120 cardinaux électeurs, coupés du monde extérieur, ont prêté serment de confidentialité absolue, sous peine d’excommunication. Privés de téléphones portables et isolés de toute communication, ils poursuivent leurs délibérations dans le plus grand secret.
Deux nouveaux scrutins sont prévus pour cet après-midi. Si un cardinal obtient la majorité requise — au moins 89 voix sur 120 —, la fumée blanche devrait s’élever vers 17h30, heure de Rome. En cas de nouvel échec, un second tour aura lieu, et une nouvelle fumée, noire ou blanche, apparaîtra autour de 19h.
Ce conclave 2025 s’annonce particulièrement ouvert et incertain, avec un nombre record d’électeurs venus de plus de 70 pays. Quinze nations, dont Haïti et le Cap-Vert, y participent pour la première fois, reflétant la diversité croissante de l’Église catholique.
À titre de comparaison, Benoît XVI avait été élu en deux jours en 2005, tout comme François en 2013. Mais la durée du conclave reste imprévisible : les cardinaux voteront chaque jour, matin et après-midi, jusqu’à ce qu’un consensus soit trouvé.
En attendant la fumée blanche, l’émotion, la prière et l’espoir dominent sur la place Saint-Pierre, transformée pour l’occasion en une immense salle de presse à ciel ouvert, couverte par plus de 5 000 journalistes du monde entier.
Sous les regards attentifs de milliers de fidèles et de curieux rassemblés place Saint-Pierre, l'apparition de cette fumée sombre a suscité des soupirs de déception, rapportent les envoyés spéciaux. « Jusqu’à ce que nous ayons un pape, je serai là, quoi qu’il arrive ! », témoigne le père Joseph, un Tanzanien d'une trentaine d'années, étudiant à Rome. Comme lui, de nombreux jeunes croyants africains suivent chaque vote avec ferveur.
« Ce que j’aimerais pour l’Église catholique, c’est qu’elle œuvre davantage pour la paix, notamment en Afrique, au Congo, et pour la réconciliation entre les peuples », confie Guillaume Semugisha, un étudiant burundais en théologie, également présent sur la place.
Le conclave, ritualisé et très codifié, s’est ouvert dans la chapelle Sixtine sous les célèbres fresques de Michel-Ange. Les 120 cardinaux électeurs, coupés du monde extérieur, ont prêté serment de confidentialité absolue, sous peine d’excommunication. Privés de téléphones portables et isolés de toute communication, ils poursuivent leurs délibérations dans le plus grand secret.
Deux nouveaux scrutins sont prévus pour cet après-midi. Si un cardinal obtient la majorité requise — au moins 89 voix sur 120 —, la fumée blanche devrait s’élever vers 17h30, heure de Rome. En cas de nouvel échec, un second tour aura lieu, et une nouvelle fumée, noire ou blanche, apparaîtra autour de 19h.
Ce conclave 2025 s’annonce particulièrement ouvert et incertain, avec un nombre record d’électeurs venus de plus de 70 pays. Quinze nations, dont Haïti et le Cap-Vert, y participent pour la première fois, reflétant la diversité croissante de l’Église catholique.
À titre de comparaison, Benoît XVI avait été élu en deux jours en 2005, tout comme François en 2013. Mais la durée du conclave reste imprévisible : les cardinaux voteront chaque jour, matin et après-midi, jusqu’à ce qu’un consensus soit trouvé.
En attendant la fumée blanche, l’émotion, la prière et l’espoir dominent sur la place Saint-Pierre, transformée pour l’occasion en une immense salle de presse à ciel ouvert, couverte par plus de 5 000 journalistes du monde entier.