
Le pèlerinage à La Mecque 2025 s’est officiellement achevé le dimanche 8 juin, avec un bilan globalement positif mais marqué par quelques tensions pour la délégation sénégalaise. Parmi les 1 611 310 pèlerins recensés cette année en Arabie Saoudite, 12 840 étaient Sénégalais, un chiffre en baisse comparé à l’année précédente, en raison des restrictions imposées par les autorités saoudiennes. Ces mesures visaient à limiter la présence des populations locales et régionales afin de privilégier les fidèles venus de loin.
Selon Abdou Khadre Diop, directeur général de Maréga Voyage, la majorité des pèlerins ont pu accomplir leurs obligations religieuses dans de bonnes conditions, à l’exception de quelques cas de malaises bénins, vite pris en charge.
« Grâce aux innovations mises en place cette année, la circulation a été plus fluide malgré l'affluence. Les pèlerins ont pu effectuer leurs rites dans la sérénité », a-t-il déclaré.
Les témoignages de pèlerins – tels que Doudou Faye, El Hadji Babacar M’bodji, Abdoulaye Racine Kane ou encore Khadidja – saluent une organisation jugée satisfaisante de Médine à Arafat, en passant par Mina, la Mecque, Safa et Marwa.
Le principal point noir du pèlerinage a été la gestion de l’hébergement, notamment pour les pèlerins envoyés par l’État.
Sur les 12 840 pèlerins, seuls 913 ont été logés dans la zone 4, les autres ayant été affectés à la zone 5, considérée comme moins confortable. Ce choix a provoqué une vague de protestations chez certains pèlerins, qui ont dénoncé une organisation défaillante.
Cheikh Sidy Fall, responsable de la zone 5, a justifié la situation par un retard dans les réservations, obligeant à réorienter une partie des fidèles. Cette position a été soutenue par Mamadou Gaye, délégué général au pèlerinage, et Abdou Khadre Diop.
Le trop-plein de la zone 5 a même contraint les organisateurs à reloger certains groupes dans la zone 4, causant temporairement une saturation des tentes climatisées et des toilettes. L’incident a toutefois été rapidement géré et n’a pas compromis la suite du pèlerinage.
Selon Abdou Khadre Diop, directeur général de Maréga Voyage, la majorité des pèlerins ont pu accomplir leurs obligations religieuses dans de bonnes conditions, à l’exception de quelques cas de malaises bénins, vite pris en charge.
« Grâce aux innovations mises en place cette année, la circulation a été plus fluide malgré l'affluence. Les pèlerins ont pu effectuer leurs rites dans la sérénité », a-t-il déclaré.
Les témoignages de pèlerins – tels que Doudou Faye, El Hadji Babacar M’bodji, Abdoulaye Racine Kane ou encore Khadidja – saluent une organisation jugée satisfaisante de Médine à Arafat, en passant par Mina, la Mecque, Safa et Marwa.
Le principal point noir du pèlerinage a été la gestion de l’hébergement, notamment pour les pèlerins envoyés par l’État.
Sur les 12 840 pèlerins, seuls 913 ont été logés dans la zone 4, les autres ayant été affectés à la zone 5, considérée comme moins confortable. Ce choix a provoqué une vague de protestations chez certains pèlerins, qui ont dénoncé une organisation défaillante.
Cheikh Sidy Fall, responsable de la zone 5, a justifié la situation par un retard dans les réservations, obligeant à réorienter une partie des fidèles. Cette position a été soutenue par Mamadou Gaye, délégué général au pèlerinage, et Abdou Khadre Diop.
Le trop-plein de la zone 5 a même contraint les organisateurs à reloger certains groupes dans la zone 4, causant temporairement une saturation des tentes climatisées et des toilettes. L’incident a toutefois été rapidement géré et n’a pas compromis la suite du pèlerinage.