
Mansour Faye en prison : ses lieutenants ont disparu du paysage politique
Depuis l’avènement du nouveau régime au Sénégal, poser les yeux sur certains leaders de l’Alliance pour la République (APR) à Saint-Louis est devenu chose rare. Plusieurs figures de proue du parti, naguère omniprésentes aux côtés de Mansour Faye, semblent avoir été balayées par la vague « PASTEF ».
Un grand vide est ainsi noté dans l'organisation politique locale. Le siège de l’APR, les activités du parti, ou même les simples mobilisations autour du maire ont perdu en vigueur. Ceux qu’on qualifiait de « lieutenants » de Mansour Faye sont aujourd’hui portés disparus.
Depuis l’incarcération du beau-frère de l’ancien président Macky Sall, une grande partie de ces responsables, autrefois omniprésents dans l’espace médiatique et institutionnel, se murent dans un silence assourdissant.
Le combat pour la libération du maire de Saint-Louis est désormais porté, en grande partie, par des femmes du parti. Les directeurs généraux, anciens proches collaborateurs ou bénéficiaires du régime déchu, brillent par leur silence.
L’absence prolongée de figures comme Charles Fall, Alioune Diop, Malick Ndoye, Bamba Fall, entre autres, soulève des interrogations :
Ont-ils abandonné leur mentor ? Sont-ils dans une phase de repli stratégique ? Préparent-ils un retour spectaculaire ?
Le mutisme persistant laisse place aux spéculations.
A.G
Depuis l’avènement du nouveau régime au Sénégal, poser les yeux sur certains leaders de l’Alliance pour la République (APR) à Saint-Louis est devenu chose rare. Plusieurs figures de proue du parti, naguère omniprésentes aux côtés de Mansour Faye, semblent avoir été balayées par la vague « PASTEF ».
Un grand vide est ainsi noté dans l'organisation politique locale. Le siège de l’APR, les activités du parti, ou même les simples mobilisations autour du maire ont perdu en vigueur. Ceux qu’on qualifiait de « lieutenants » de Mansour Faye sont aujourd’hui portés disparus.
Depuis l’incarcération du beau-frère de l’ancien président Macky Sall, une grande partie de ces responsables, autrefois omniprésents dans l’espace médiatique et institutionnel, se murent dans un silence assourdissant.
Le combat pour la libération du maire de Saint-Louis est désormais porté, en grande partie, par des femmes du parti. Les directeurs généraux, anciens proches collaborateurs ou bénéficiaires du régime déchu, brillent par leur silence.
L’absence prolongée de figures comme Charles Fall, Alioune Diop, Malick Ndoye, Bamba Fall, entre autres, soulève des interrogations :
Ont-ils abandonné leur mentor ? Sont-ils dans une phase de repli stratégique ? Préparent-ils un retour spectaculaire ?
Le mutisme persistant laisse place aux spéculations.
A.G