Le juge d’instruction du premier cabinet a prononcé une ordonnance de non-lieu dans l’affaire dite de la surfacturation du riz, estimant que les éléments réunis ne permettaient pas l’ouverture d’un procès. Le dossier a été jugé « vide » par le magistrat, qui n’a relevé aucune preuve suffisante pour engager des poursuites. 
    
    
Par cette décision, les importateurs Rayan Hachem, Moustapha Ndiaye, Mohamed Dieng, ainsi que Aliou Sow, ancien Directeur de l’administration générale et de l’équipement (DAGE) au ministère du Développement communautaire sous Mansour Faye, ont été blanchis. 
    
    
Mais l’affaire connaît un nouveau rebondissement : le Parquet de la République a décidé d’interjeter appel, relançant ainsi une procédure judiciaire dans un dossier à forte portée politique et économique. 
    
    
Pour mémoire, l’affaire concerne une commande de 30 000 tonnes de riz effectuée pendant la pandémie de Covid-19, pour un montant de 2,749 milliards de FCFA, et entachée de soupçons de surfacturation, d’absence d’appel d’offres et de carences dans les contrôles de qualité et de prix. 
   
  M.S 
   
    
  
				 

			 
			 
			 
			 
			 
			 
			 
 ACCUEIL








 
					 
					 
					 
					 
					 