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CONTRIBUTION: "Juste avant l’alternance démocratique en 2000, le pouvoir était géré par le parti socialiste de Senghor"

Jeudi 12 Mai 2011

CONTRIBUTION: "Juste avant l’alternance démocratique en 2000, le pouvoir était géré par le parti socialiste de Senghor"
Juste avant l’alternance démocratique en 2000, le pouvoir était géré par le parti socialiste de Senghor. Après 40 ans de pouvoir, le régime socialiste était renfermé sur lui-même. On sait ce que cela lui coûta quand le peuple était las. Ce pouvoir enfermé est de retour, mais dans d’autres mains qui portaient et l’avenir et l’espoir des sénégalaises et sénégalais. Ce régime néolibéral a tous les leviers de commandes entre les mains plus que dans aucune autre république ou monarchie constitutionnelle du monde moderne. Ce pouvoir qui n’écoute même plus les prétendus (mais honnêtes) représentants du peuples pourtant élus pour être consultés et écoutés et qui, dans notre Sénégal, n’ont plus de place dans les décisions qui concernent la vie entière de tout un peuple.

Autour de ce pouvoir politique verrouillé, le pouvoir économique et médiatique constitue une forteresse pour empêcher tous ceux qui n’ont pas leurs codes d’y accéder. Le régime est le même ; le peuple sénégalais a changé certains hommes mais les habitudes sont restées. Nous avons laissé, peut être sans nous en rendre compte, se reconstruire les mêmes ordres d’autrefois.

Le Sénégal n’est plus au temps de la colonisation ; j’allais dire des quatre communes pour réserver certains droits et avantages à une partie de sa population. Heureusement que la nouvelle génération politique continue sa maturation politique. Cette dernière inachevée ne suffit pas à en enlever cette barrière édictée et prescrite. Nos pouvoirs africains doivent savoir que les problèmes qu’affronte le monde actuel

réclament non pas l’intimité des gouvernants entre eux pour trahir la confiance dont on a placé en eux, mais aux contraire l’intimité des puissants avec son peuple à qui ils doivent gratitude et des comptes rendus. Ceci une fois respecté, le peuple sénégalais, dans sa générosité et sa reconnaissance les leur rendrait bien. Parmi ces hommes et femmes politique du pays, l'un des meilleurs d'entre eux s'appelle

Cheikh Bamba Dièye membre du Benno Siggil Sénégal. Ce BSS perd sa crédibilité par son manque criard de propositions pour sortir les sénégalaises et sénégalais des nuits de ténèbres dans lesquelles le régime libéral les a piégés. Cheikh Bamba constitue l'avenir et l'espoir. Les sénégalaises et sénégalais se posent des questions. Ils se posent la question: Cheikh Bamba DIEYE doit-il quitter Benno?

C'est un appel à une réflexion intéressante. Cheikh Bamba serait-il un homme qui essaie de faire les choses au moment opportun pour l'intérêt commun. Ce dont je suis sûr, c’est que Cheikh Bamba Dièye est conscient de la situation du Sénégal et du rôle historique qu'il a l'obligation de jouer. Simplement il peut être en exécution de cette tache qu'avec les meilleurs d'entre nous. Alors si vous pensez que vous faites partis des meilleurs rejoignez nous."

Moustapha DIAW Coordonnateur de Vision Alternative pour le Sénégal à Paris.




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