Brandissant des drapeaux portant le slogan "Chaque vie compte", les manifestants ont traversé la capitale, sifflant avec colère lorsqu'ils sont passés devant le siège du Parti populaire (PP, conservateur), a constaté un journaliste de l'AFP.
"Avorteurs, assassins", criaient certains. "Oui à la vie, non à l'avortement". Le Premier ministre espagnol Mariano Rajoy avait promis avant son élection en 2011 de durcir la loi sur l'avortement, mais a abandonné ce projet en septembre en raison de dissensions sur cette question au sein de son propre parti.
Ce recul a suscité la colère de nombre de ses partisans, qui ont brandi la menace de ne pas voter pour lui aux prochaines élections générales, prévues en décembre 2015.
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"Avorteurs, assassins", criaient certains. "Oui à la vie, non à l'avortement". Le Premier ministre espagnol Mariano Rajoy avait promis avant son élection en 2011 de durcir la loi sur l'avortement, mais a abandonné ce projet en septembre en raison de dissensions sur cette question au sein de son propre parti.
Ce recul a suscité la colère de nombre de ses partisans, qui ont brandi la menace de ne pas voter pour lui aux prochaines élections générales, prévues en décembre 2015.
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