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Les nervis recrutés par l’APR pour intimider et agresser ceux qui contestent la politique du chef de l’Etat sont de plus en plus dénoncés.
En conférence de presse ce lundi, la présidente du mouvement « Fouta Tampi » en a rajouté une autre nouvelle couche. Fatoumata NDIAYE accuse le président Macky SALL d’être personnellement derrière le recrutement de ces gros bras pour mater les manifestants de son mouvement.
« Je vais porter plainte au niveau national et international. Le président de la République est le seul responsable de cette situation car là où il passe, il voit les nervis à l’œuvre», déclare-t-elle.
Fatoumata NDIAYE qui indique faire l’objet de menaces assure qu’elle va chercher un port d’arme pour se défendre contre ces nervis. « En l’espace de 15 jours, cela ne fait même pas un mois, j’ai déménagé trois fois. Je n’envisage plus de le faire. Je vais rester et faire face au pouvoir. Il dit que le Fouta, c’est son titre foncier. On peut le lui concéder mais, en tant qu’autorité. Mais il se trompe. C’est un permis d’occuper qu’on lui a donné au Fouta. Si l’occupation n’est pas bonne, on reprend le permis », fulmine-t-elle.
Les mouvements « Y’en a marre » et Fouta Tampi ont prévu prochainement d’organiser une grande marche à Fouta pour dénoncer les problèmes de la localité ainsi que la violence dont les populations ont fait objet.
WALFNet
En conférence de presse ce lundi, la présidente du mouvement « Fouta Tampi » en a rajouté une autre nouvelle couche. Fatoumata NDIAYE accuse le président Macky SALL d’être personnellement derrière le recrutement de ces gros bras pour mater les manifestants de son mouvement.
« Je vais porter plainte au niveau national et international. Le président de la République est le seul responsable de cette situation car là où il passe, il voit les nervis à l’œuvre», déclare-t-elle.
Fatoumata NDIAYE qui indique faire l’objet de menaces assure qu’elle va chercher un port d’arme pour se défendre contre ces nervis. « En l’espace de 15 jours, cela ne fait même pas un mois, j’ai déménagé trois fois. Je n’envisage plus de le faire. Je vais rester et faire face au pouvoir. Il dit que le Fouta, c’est son titre foncier. On peut le lui concéder mais, en tant qu’autorité. Mais il se trompe. C’est un permis d’occuper qu’on lui a donné au Fouta. Si l’occupation n’est pas bonne, on reprend le permis », fulmine-t-elle.
Les mouvements « Y’en a marre » et Fouta Tampi ont prévu prochainement d’organiser une grande marche à Fouta pour dénoncer les problèmes de la localité ainsi que la violence dont les populations ont fait objet.
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