« Nous avons repoussé l’attaque iranienne de manière remarquable », proclame ce dimanche matin Yoav Gallant le ministre israélien de la Défense. Mais « l’attaque iranienne n’est pas terminée », estime-t-on ce dimanche matin en Israël. « Même si le plus gros est derrière nous », ajoute un responsable militaire israélien.
Pour la première fois donc, l’Iran a attaqué directement Israël, même si une partie des engins tirés sur l'État hébreu provenait des proxys de l’Iran, notamment du Yémen, d’Irak, de Syrie et du Liban.
C’était une attaque massive : 110 missiles balistiques, 36 missiles de croisière et 185 drones. Des centaines de missiles et drones ont été interceptés par Israël, les États-Unis, la Jordanie et la Grande-Bretagne. Selon Israël, 99% des engins qui présentaient un danger ont été neutralisés. La plupart en dehors de l’espace aérien israélien. Dans le collimateur, le sud israélien avec une base militaire qui a été touchée. Et également des localités bédouines. Une fillette a été moyennement blessée. Et dans le nord, sur le plateau du Golan, une autre base militaire a été ciblée. Un missile s’est abattu de plein fouet sur une maison dans la ville de Katsrin provoquant d'importants dégâts. Et selon le porte-parole de l’armée, l’attaque iranienne n’est pas encore finie.
« Nous frapperons ceux qui nous ont frappé »
La question maintenant bien sûr est de voir comment Israël va réagir. Israël affirme se préparer à une réaction qu’elle promet être forte et décisive. Le gouvernement a donné son feu vert à l’état-major pour préparer une réponse. Et le cabinet doit se réunir à nouveau plus tard dans la journée.
« Nous frapperons ceux qui nous ont frappé », affirme le Premier ministre Netanyahu. « Nous réagirons avec détermination en gardant la tête froide », a-t-il ajouté ce matin.
Le Premier ministre israélien s’est entretenu au téléphone pendant 25 minutes avec le président américain. On indique qu’Israël s’est engagé à coordonner avec les États-Unis toute riposte, et cela, sans précipitation. Mais ce matin, on affirme aussi que Joe Biden a dit s’opposer à toute attaque israélienne contre l’Iran. Netanyahu doit s’entretenir avec d’autres dirigeants. En Israël, on estime que plusieurs journées d’échange de tirs avec l’Iran sont encore devant nous.
Un éditorialiste fait remarquer que c’est aussi la première fois depuis la première guerre du Golfe qu’Israël est attaqué par un État souverain. À l’époque, en 1991, c’était l’Irak. Et en fin de compte, Israël n’avait pas réagi.
Pour la première fois donc, l’Iran a attaqué directement Israël, même si une partie des engins tirés sur l'État hébreu provenait des proxys de l’Iran, notamment du Yémen, d’Irak, de Syrie et du Liban.
C’était une attaque massive : 110 missiles balistiques, 36 missiles de croisière et 185 drones. Des centaines de missiles et drones ont été interceptés par Israël, les États-Unis, la Jordanie et la Grande-Bretagne. Selon Israël, 99% des engins qui présentaient un danger ont été neutralisés. La plupart en dehors de l’espace aérien israélien. Dans le collimateur, le sud israélien avec une base militaire qui a été touchée. Et également des localités bédouines. Une fillette a été moyennement blessée. Et dans le nord, sur le plateau du Golan, une autre base militaire a été ciblée. Un missile s’est abattu de plein fouet sur une maison dans la ville de Katsrin provoquant d'importants dégâts. Et selon le porte-parole de l’armée, l’attaque iranienne n’est pas encore finie.
« Nous frapperons ceux qui nous ont frappé »
La question maintenant bien sûr est de voir comment Israël va réagir. Israël affirme se préparer à une réaction qu’elle promet être forte et décisive. Le gouvernement a donné son feu vert à l’état-major pour préparer une réponse. Et le cabinet doit se réunir à nouveau plus tard dans la journée.
« Nous frapperons ceux qui nous ont frappé », affirme le Premier ministre Netanyahu. « Nous réagirons avec détermination en gardant la tête froide », a-t-il ajouté ce matin.
Le Premier ministre israélien s’est entretenu au téléphone pendant 25 minutes avec le président américain. On indique qu’Israël s’est engagé à coordonner avec les États-Unis toute riposte, et cela, sans précipitation. Mais ce matin, on affirme aussi que Joe Biden a dit s’opposer à toute attaque israélienne contre l’Iran. Netanyahu doit s’entretenir avec d’autres dirigeants. En Israël, on estime que plusieurs journées d’échange de tirs avec l’Iran sont encore devant nous.
Un éditorialiste fait remarquer que c’est aussi la première fois depuis la première guerre du Golfe qu’Israël est attaqué par un État souverain. À l’époque, en 1991, c’était l’Irak. Et en fin de compte, Israël n’avait pas réagi.