À l’Agence nationale pour les énergies renouvelables (ANER) de grosses violations ont été décelées par les contrôleurs de la Cour des comptes dans leur rapport qui passe au crible les exercices 2017, 2018, 2019 et 2020.
Parmi celles-ci, des rémunérations versées à des stagiaires sans mention de la catégorie de l’emploi de référence.
« Dans sa volonté de contribuer à l’employabilité des jeunes diplômés de l’enseignement général ou technique et professionnel et de favoriser leur insertion professionnelle, l’ANER accueille plusieurs stagiaires pour leur faciliter l’acquisition d’une expérience pratique », indique le rapport.
Ainsi, durant la période sous revue, 23 contrats de stage ont été signés entre l’Agence et de jeunes titulaires de divers diplômes.
Ces stagiaires, ajoute le document, ont perçu, « sur la période de contrôle, une rémunération globale de 133 708 750 F CFA », avec des rémunérations brutes mensuelles allant de 363 000 FCFA à 602 000 CFA. Le décret n°2015-777 du 2 juin 2015 fixant les règles applicables au contrat de stage dispose, en son article 5, que : « le contrat de stage comporte obligatoirement les mentions suivantes : l’emploi ou le métier pour lequel le stagiaire recevra une formation et la catégorie de l’emploi de référence ».
Le contrôle effectué par la Cour des comptes a, cependant, révélé que cette disposition « n’est pas toujours respectée ».
« En effet, seuls quatre sur les 23 contrats de stage signés sur la période sous revue satisfont à cette double exigence (contrat ANER n°042/2018, contrat ANER n°043/2018, contrat ANER n°050/2019 et contrat ANER n°052/2019), tandis que six autres contrats donnent une indication sur la catégorie de référence sans préciser l’emploi ou le métier pour lequel le diplômé est admis en stage (contrat ANER n° 053/2019, contrat ANER n°060/2019, contrat ANER n° 061/2019, contrat ANER n° 059/2020, contrat ANER n° 064/2020 et contrat ANER n°065/2020). Les 13 contrats qui restent n’indiquent ni l’emploi auquel le stagiaire est destiné ni la catégorie dans laquelle il est positionné », détaille le rapport.
Avec SENEWEB
Parmi celles-ci, des rémunérations versées à des stagiaires sans mention de la catégorie de l’emploi de référence.
« Dans sa volonté de contribuer à l’employabilité des jeunes diplômés de l’enseignement général ou technique et professionnel et de favoriser leur insertion professionnelle, l’ANER accueille plusieurs stagiaires pour leur faciliter l’acquisition d’une expérience pratique », indique le rapport.
Ainsi, durant la période sous revue, 23 contrats de stage ont été signés entre l’Agence et de jeunes titulaires de divers diplômes.
Ces stagiaires, ajoute le document, ont perçu, « sur la période de contrôle, une rémunération globale de 133 708 750 F CFA », avec des rémunérations brutes mensuelles allant de 363 000 FCFA à 602 000 CFA. Le décret n°2015-777 du 2 juin 2015 fixant les règles applicables au contrat de stage dispose, en son article 5, que : « le contrat de stage comporte obligatoirement les mentions suivantes : l’emploi ou le métier pour lequel le stagiaire recevra une formation et la catégorie de l’emploi de référence ».
Le contrôle effectué par la Cour des comptes a, cependant, révélé que cette disposition « n’est pas toujours respectée ».
« En effet, seuls quatre sur les 23 contrats de stage signés sur la période sous revue satisfont à cette double exigence (contrat ANER n°042/2018, contrat ANER n°043/2018, contrat ANER n°050/2019 et contrat ANER n°052/2019), tandis que six autres contrats donnent une indication sur la catégorie de référence sans préciser l’emploi ou le métier pour lequel le diplômé est admis en stage (contrat ANER n° 053/2019, contrat ANER n°060/2019, contrat ANER n° 061/2019, contrat ANER n° 059/2020, contrat ANER n° 064/2020 et contrat ANER n°065/2020). Les 13 contrats qui restent n’indiquent ni l’emploi auquel le stagiaire est destiné ni la catégorie dans laquelle il est positionné », détaille le rapport.
Avec SENEWEB