Aujourd’hui, la CASL combine le développement hydroagricole, la recherche, la production de paddy, la transformation, les contrats de culture et la commercialisation en respectant les normes de développement. Son apport dans la transition de l’agriculture d’autoconsommation à une agriculture commerciale, est considérable. Attachée à sa politique sociale, elle développe également des surfaces pour l’agriculture familiale, encourage l’accroissement des revenus et les emplois agricoles dans la vallée du fleuve, et diffuse la formation et de nouvelles techniques auprès des locaux.
Une démarche citoyenne …
La compagnie agricole veut réduire la facture et l’insécurité alimentaire du Sénégal, en devenant un moteur pour la modernisation de la filière riz. Elle tient aussi à marquer une empreinte environnementale sous contrôle. L’entreprise milite en faveur d’une démarche inclusive et d’un partenariat gagnant/gagnant avec les populations.
De grandes ambitions …
Sur le plan agricole, la CASL ambitionne d’aménager sur une assiette foncière de 5.300 hectares. À terme, elle pourra développer une exploitation agricole sur 4.600 ha irrigables. Deux récoltes de riz par an pourront être réalisées. Des réseaux primaires seront réalisés pour alimenter en eau environ 1500 ha d’exploitations pour les populations riveraines. Pour soutenir les exploitants, elle pourra engager un minimum de 1 500 ha/an de contrats de culture pour produire 45.000 tonnes par an de riz blanc. Pour la collecte, usinage et commercialisation, l’entreprise va atteindre 30.000 tonnes de paddy en stockage avec le renforcement des silos.
Des contraintes à braver …
La CASL fait face à la salinisation du sol qui ne favorise pas l’exploitation continue de certaines variétés du riz. Les attaques d’oiseaux, récurrentes dans cette zone, imposent la veille de sentinelles. Ces difficultés rejoignent les contraintes traditionnelles liées à la filière (TVA, lutte aviaire, engrais)
Un projet environnemental et social innovant
75% d’emplois permanents (CDD et CDI) ont été crées dont 10 % réservés aux femmes et 10 % aux jeunes. La CASL prévoit de reboiser 80 ha à proximité des villages et dans les forêts classées en plus d’assurer le faucardage des typhas dans les parcs naturels. Aujourd’hui, des réseaux primaires sont mis au profit de 500 ha exploitants riverains. 20 % de la paille cédée gratuitement aux éleveurs en fin de campagne et 32 ha de maraichage et d’arboriculture seront mis à la disposition des groupements féminins pour favoriser la création d’activités génératrices de revenus.
À cela s’ajoute, l’enrôlement de 20 jeunes dans un programme d’élevage intensif et de pisciculture l’adduction d’eau potable pour 8 villages riverains. La CASL développe de manière constante des actions sociales dans les domaines de l’éducation et de la santé.
>>> Immersion dans processus de production …
Une démarche citoyenne …
La compagnie agricole veut réduire la facture et l’insécurité alimentaire du Sénégal, en devenant un moteur pour la modernisation de la filière riz. Elle tient aussi à marquer une empreinte environnementale sous contrôle. L’entreprise milite en faveur d’une démarche inclusive et d’un partenariat gagnant/gagnant avec les populations.
De grandes ambitions …
Sur le plan agricole, la CASL ambitionne d’aménager sur une assiette foncière de 5.300 hectares. À terme, elle pourra développer une exploitation agricole sur 4.600 ha irrigables. Deux récoltes de riz par an pourront être réalisées. Des réseaux primaires seront réalisés pour alimenter en eau environ 1500 ha d’exploitations pour les populations riveraines. Pour soutenir les exploitants, elle pourra engager un minimum de 1 500 ha/an de contrats de culture pour produire 45.000 tonnes par an de riz blanc. Pour la collecte, usinage et commercialisation, l’entreprise va atteindre 30.000 tonnes de paddy en stockage avec le renforcement des silos.
Des contraintes à braver …
La CASL fait face à la salinisation du sol qui ne favorise pas l’exploitation continue de certaines variétés du riz. Les attaques d’oiseaux, récurrentes dans cette zone, imposent la veille de sentinelles. Ces difficultés rejoignent les contraintes traditionnelles liées à la filière (TVA, lutte aviaire, engrais)
Un projet environnemental et social innovant
75% d’emplois permanents (CDD et CDI) ont été crées dont 10 % réservés aux femmes et 10 % aux jeunes. La CASL prévoit de reboiser 80 ha à proximité des villages et dans les forêts classées en plus d’assurer le faucardage des typhas dans les parcs naturels. Aujourd’hui, des réseaux primaires sont mis au profit de 500 ha exploitants riverains. 20 % de la paille cédée gratuitement aux éleveurs en fin de campagne et 32 ha de maraichage et d’arboriculture seront mis à la disposition des groupements féminins pour favoriser la création d’activités génératrices de revenus.
À cela s’ajoute, l’enrôlement de 20 jeunes dans un programme d’élevage intensif et de pisciculture l’adduction d’eau potable pour 8 villages riverains. La CASL développe de manière constante des actions sociales dans les domaines de l’éducation et de la santé.
>>> Immersion dans processus de production …
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