Ndella Madior Diouf a été placée en garde à vue hier jeudi, suite à son audition par la Brigade de protection des mineurs de la Sûreté urbaine (Su). Cette mesure survient après une plainte d'une femme affirmant avoir été rançonnée pour récupérer son bébé, placé dans la pouponnière.
Selon les informations relayées par Libération, Ndella Madior Diouf aurait été appréhendée après avoir refusé de se conformer à une convocation émise suite à cette plainte. Durant son interrogatoire, elle aurait été confrontée à des contradictions par les enquêteurs.
L'une des révélations de cette enquête pointe vers le fonctionnement illégal de la pouponnière. En effet, bien qu'elle ait affirmé avoir déposé une demande pour l'ouvrir, les investigations démontrent que l'établissement opérait sans autorisation depuis l'année 2022, accueillant des enfants de zéro à seize mois dans une totale opacité.
De plus, les explications fournies par Ndella Madior Diouf concernant le décès de deux enfants dans des circonstances troubles n'ont pas convaincu les enquêteurs. La dénomination des enfants avec des noms de célébrités tels que Mariéme Faye Sall, Ousmane Sonko, Youssou Ndour et Ismaila Madior Fall, aurait été justifiée comme étant purement décorative. Cependant, les autorités soupçonnent une possible escroquerie derrière cette pratique.
À en croire le journal, la mise en cause est désormais poursuivie pour des chefs d'accusation graves, incluant « des homicides involontaires, des maltraitances envers des enfants, ainsi que l'exploitation illégale d'une pouponnière ».
48 nourrissons évacués à Albert Royer et Gaspard Camara
48 nourrissons en situation précaire ont été immédiatement pris en charge et transportés vers les établissements sanitaires Albert Royer de Fann et Gaspard Camara à bord d'ambulances médicalisées, renseigne L’Observateur.
Six (6) nounous et les assistants ont été arrêtés et conduits au Commissariat central afin d’être entendu dans le cadre de l'enquête.
La septième nounou, qui devait bénéficier de soins, a été conduite à l'hôpital. Pour assurer la sécurité des lieux durant la nuit, les locaux de la pouponnière ont été fermés et placés sous la surveillance des éléments du commissariat de Dieuppeul.
Selon les informations relayées par Libération, Ndella Madior Diouf aurait été appréhendée après avoir refusé de se conformer à une convocation émise suite à cette plainte. Durant son interrogatoire, elle aurait été confrontée à des contradictions par les enquêteurs.
L'une des révélations de cette enquête pointe vers le fonctionnement illégal de la pouponnière. En effet, bien qu'elle ait affirmé avoir déposé une demande pour l'ouvrir, les investigations démontrent que l'établissement opérait sans autorisation depuis l'année 2022, accueillant des enfants de zéro à seize mois dans une totale opacité.
De plus, les explications fournies par Ndella Madior Diouf concernant le décès de deux enfants dans des circonstances troubles n'ont pas convaincu les enquêteurs. La dénomination des enfants avec des noms de célébrités tels que Mariéme Faye Sall, Ousmane Sonko, Youssou Ndour et Ismaila Madior Fall, aurait été justifiée comme étant purement décorative. Cependant, les autorités soupçonnent une possible escroquerie derrière cette pratique.
À en croire le journal, la mise en cause est désormais poursuivie pour des chefs d'accusation graves, incluant « des homicides involontaires, des maltraitances envers des enfants, ainsi que l'exploitation illégale d'une pouponnière ».
48 nourrissons évacués à Albert Royer et Gaspard Camara
48 nourrissons en situation précaire ont été immédiatement pris en charge et transportés vers les établissements sanitaires Albert Royer de Fann et Gaspard Camara à bord d'ambulances médicalisées, renseigne L’Observateur.
Six (6) nounous et les assistants ont été arrêtés et conduits au Commissariat central afin d’être entendu dans le cadre de l'enquête.
La septième nounou, qui devait bénéficier de soins, a été conduite à l'hôpital. Pour assurer la sécurité des lieux durant la nuit, les locaux de la pouponnière ont été fermés et placés sous la surveillance des éléments du commissariat de Dieuppeul.