Ce rencontre a permis de faire la restitution de l'étude sur le schéma d'aménagement hydraulique des zones de Ngalam et de Lac de Gueirs dans le cadre du projet PEDIDAS financé par la Banque mondiale.
Dans leur exposé, les consultants qui ont été à l'œuvre de cette étude ont proposé deux options pour favoriser une bonne relance de la filière riz. D'abord, l'une qui consiste à assurer une connexion du fleuve Sénégal avec la réserve d'eau douce de Saint-Louis via un ouvrage dans le cadre des activités du MCA pour passer au Ngalam et aux trois marigots. Cette option, d'après les consultants, est moins couteuse et présente un avantage en termes de débit. L'autre option qui fait aussi la connexion du fleuve Sénégal avec la réserve d'eau douce de Saint-Louis, mais par Diama est beaucoup plus chère et moins avantageuse pour les populations des zones concernées.
Selon le Dr Diouf, « le projet prévoit sur 10 000 ha pour les six prochaines années de créer 50 000 emplois, mais également d'arriver à une exportation de 157 000 tonnes de produits ».
Pour Babacar Diop, maire de Ross Béthio et porte-parole des populations ce qui importe le plus c'est le dialogue, la participation et la démarche inclusive du projet, car les « populations qui sont les cibles ont intérêt à voir ce projet réalisé parce qu'ils sont dans des zones très loin des axes hydrauliques. Ces populations s'adonnent à des activités agropastorales et ils ont besoin d'eau ». Toujours pour M.Diop « l'essentiel c'est de mobiliser les populations au tour de la dynamique et de faire de sorte qu'ils soient au début, à la mise en œuvre et à l'évaluation de ce projet ». Ainsi pour gagner le pari et relever le défi, il est impératif de créer une synergie autour de ce projet.
Il faut signaler qu'il y avait une grande mobilisation des populations rurales de la zone nord. Des chefs de villages, des présidents de collectivités rurales et des présidents de régions ont pris part à cette rencontre qui a duré plus de dix tours d'horloge.
Ndarinfo.com
Dans leur exposé, les consultants qui ont été à l'œuvre de cette étude ont proposé deux options pour favoriser une bonne relance de la filière riz. D'abord, l'une qui consiste à assurer une connexion du fleuve Sénégal avec la réserve d'eau douce de Saint-Louis via un ouvrage dans le cadre des activités du MCA pour passer au Ngalam et aux trois marigots. Cette option, d'après les consultants, est moins couteuse et présente un avantage en termes de débit. L'autre option qui fait aussi la connexion du fleuve Sénégal avec la réserve d'eau douce de Saint-Louis, mais par Diama est beaucoup plus chère et moins avantageuse pour les populations des zones concernées.
Selon le Dr Diouf, « le projet prévoit sur 10 000 ha pour les six prochaines années de créer 50 000 emplois, mais également d'arriver à une exportation de 157 000 tonnes de produits ».
Pour Babacar Diop, maire de Ross Béthio et porte-parole des populations ce qui importe le plus c'est le dialogue, la participation et la démarche inclusive du projet, car les « populations qui sont les cibles ont intérêt à voir ce projet réalisé parce qu'ils sont dans des zones très loin des axes hydrauliques. Ces populations s'adonnent à des activités agropastorales et ils ont besoin d'eau ». Toujours pour M.Diop « l'essentiel c'est de mobiliser les populations au tour de la dynamique et de faire de sorte qu'ils soient au début, à la mise en œuvre et à l'évaluation de ce projet ». Ainsi pour gagner le pari et relever le défi, il est impératif de créer une synergie autour de ce projet.
Il faut signaler qu'il y avait une grande mobilisation des populations rurales de la zone nord. Des chefs de villages, des présidents de collectivités rurales et des présidents de régions ont pris part à cette rencontre qui a duré plus de dix tours d'horloge.
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