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La vice-présidente du Parlement européen Eva Kaili à Bruxelles le 6 décembre 2022 - Eric VIDAL / EUROPEAN PARLIAMENT / AFP
Elle jure qu'elle n'en savait rien. Eva Kaili, l'eurodéputée grecque mise en cause dans un scandale retentissant de soupçons de corruption impliquant le Qatar, "ne connaissait pas l'existence de l'argent" retrouvé à son domicile à Bruxelles, a assuré son avocat Michalis Dimitrakopoulos, mardi 13 décembre.
L'élue, déchue de son poste de vice-présidente du Parlement européen, n'a "aucun rapport avec l'argent retrouvé à son domicile", a aussi assuré l'avocat lors d'un entretien à son cabinet athénien. Il a réaffirmé que sa cliente était "innocente".
L'élue socialiste de 44 ans est soupçonnée d'avoir été payée par Doha pour défendre les intérêts de l'émirat, qui accueille actuellement le Mondial de football. Le Qatar a fermement démenti les accusations.
Son compagnon également soupçonné
Michalis Dimitrakopoulos, qui s'est entretenu à plusieurs reprises avec Eva Kaili, incarcérée depuis dimanche à Bruxelles, a souligné que "seul son compagnon", l'Italien Francesco Giorgi, avec qui elle vit, pouvait fournir "des réponses sur l'existence de cet argent".
Ce dernier fait partie des trois autres personnes écrouées dans cette enquête qui éclabousse les instances européennes et a provoqué une onde de choc dans toute l'Europe, notamment en Grèce.
L'élue, déchue de son poste de vice-présidente du Parlement européen, n'a "aucun rapport avec l'argent retrouvé à son domicile", a aussi assuré l'avocat lors d'un entretien à son cabinet athénien. Il a réaffirmé que sa cliente était "innocente".
L'élue socialiste de 44 ans est soupçonnée d'avoir été payée par Doha pour défendre les intérêts de l'émirat, qui accueille actuellement le Mondial de football. Le Qatar a fermement démenti les accusations.
Son compagnon également soupçonné
Michalis Dimitrakopoulos, qui s'est entretenu à plusieurs reprises avec Eva Kaili, incarcérée depuis dimanche à Bruxelles, a souligné que "seul son compagnon", l'Italien Francesco Giorgi, avec qui elle vit, pouvait fournir "des réponses sur l'existence de cet argent".
Ce dernier fait partie des trois autres personnes écrouées dans cette enquête qui éclabousse les instances européennes et a provoqué une onde de choc dans toute l'Europe, notamment en Grèce.
