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Image d'illustration: Source: Ndarinfo.com
Comme annoncé dans nos colonnes, lundi, les étudiants de l’UFR Civilisations, Religions, Arts et Communication (Crac) ont tenu, hier, une assemblée pour clarifier leur position sur la grève illimitée décrétée par le Coordination des Étudiants de Saint-Louis (Cesl).
Après moult discussions, les délégués ont décidé de soutenir la dynamique de la CESL. Une manière d’exprimer leur solidarité à l’endroit de leurs camarades en liberté provisoire.
Contrairement aux choix des « Craciens », ceux de l’Ufr de Sciences Appliquées et de Technologie (S.A.T.) optent pour le boycottent du mot d’ordre. Ceux-ci « se basent sur l'opinion de la majorité », souffle le portail estudiantin Golob One.
L’un des délégués défavorables à la démarche de la Cesl regrette une grève « mal réfléchie, sans motif valable, illégale, illégitime, illogique, personnelle, inopportune, sentimentale, contradictoire, paradoxale et anticonstitutionnelle ». Il est cloué au pilori par certains de ces camarades qui exigent son exclusion de l’instance revendicative.
Des étudiants parlent d’un « Mayelgate » pour évoquer une présumée « conspiration » qu’aurait orchestrée le concerné, Hadji Mayel Seck contre l’instance.
Toutefois, ce dernier poursuit sa requête.
Il appelle à l’audit de la Commission sociale des Etudiants (Comsoc) et la lumière sur « la somme d’argent colossale de la semaine de l’Étudiant, les intoxications, les vols d’ordinateurs, le cas des étudiants blessés lors des fronts et que la Justice soit faite ».
NDARINFO.COM
Après moult discussions, les délégués ont décidé de soutenir la dynamique de la CESL. Une manière d’exprimer leur solidarité à l’endroit de leurs camarades en liberté provisoire.
Contrairement aux choix des « Craciens », ceux de l’Ufr de Sciences Appliquées et de Technologie (S.A.T.) optent pour le boycottent du mot d’ordre. Ceux-ci « se basent sur l'opinion de la majorité », souffle le portail estudiantin Golob One.
L’un des délégués défavorables à la démarche de la Cesl regrette une grève « mal réfléchie, sans motif valable, illégale, illégitime, illogique, personnelle, inopportune, sentimentale, contradictoire, paradoxale et anticonstitutionnelle ». Il est cloué au pilori par certains de ces camarades qui exigent son exclusion de l’instance revendicative.
Des étudiants parlent d’un « Mayelgate » pour évoquer une présumée « conspiration » qu’aurait orchestrée le concerné, Hadji Mayel Seck contre l’instance.
Toutefois, ce dernier poursuit sa requête.
Il appelle à l’audit de la Commission sociale des Etudiants (Comsoc) et la lumière sur « la somme d’argent colossale de la semaine de l’Étudiant, les intoxications, les vols d’ordinateurs, le cas des étudiants blessés lors des fronts et que la Justice soit faite ».
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