La station-service de Villers-Cotterêts (Aisne) où les deux suspects de l'attentat de Charlie Hebdo ont été aperçus jeudi. (LP/Elisabeth Garder.)
Selon nos informations, deux suspects auraient été localisés ce jeudi matin dans l'Aisne, à proximité de Villers-Cotterêts, sur la RN2. Ils auraient braqué une station-essence vers 10h30, toujours selon nos informations. Un impressionnant dispositif de sécurité a été déployé dans la zone, notamment à Crépy-en-Valois.
Les deux hommes, correspondant au signalement des deux suspects en fuite, circulaient à bord d'une Renault Clio blanche aux plaques minéralogiques masquées et portaient des cagoules. Des armes longues étaient visibles à l'arrière du véhicule. Ils circuleraient en direction de Paris.
Le gérant de la station-essence a «formellement reconnu les deux hommes soupçonnés d'avoir participé à l'attentat de Charlie Hebdo», a expliqué une source proche du dossier. «Les deux hommes sont cagoulés, avec kalachnikov et lance-roquettes apparentes», a confirmé une autre source.
Des témoins évoquent sur Twitter une concentration de forces de gendarmerie à proximité de Vauciennes, où la route était fermée à la circulation. Les gendarmes bouclaient toujours le site à la mi-journée et le plan Epervier a été déclenché, selon l'Union. Une voiture Skoda grise abandonnée sur place a été examinée, précise le quotidien régional.
Les deux hommes, correspondant au signalement des deux suspects en fuite, circulaient à bord d'une Renault Clio blanche aux plaques minéralogiques masquées et portaient des cagoules. Des armes longues étaient visibles à l'arrière du véhicule. Ils circuleraient en direction de Paris.
Le gérant de la station-essence a «formellement reconnu les deux hommes soupçonnés d'avoir participé à l'attentat de Charlie Hebdo», a expliqué une source proche du dossier. «Les deux hommes sont cagoulés, avec kalachnikov et lance-roquettes apparentes», a confirmé une autre source.
Des témoins évoquent sur Twitter une concentration de forces de gendarmerie à proximité de Vauciennes, où la route était fermée à la circulation. Les gendarmes bouclaient toujours le site à la mi-journée et le plan Epervier a été déclenché, selon l'Union. Une voiture Skoda grise abandonnée sur place a été examinée, précise le quotidien régional.