Connectez-vous
NDARINFO.COM
NDARINFO.COM NDARINFO.COM
NDARINFO.COM
Accueil
Envoyer à un ami
Version imprimable
Augmenter la taille du texte
Diminuer la taille du texte

Etat de la pauvreté au Sénégal: 46,7 % de la population sénégalaise vivent dans la misère

Vendredi 7 Avril 2017

Au Sénégal, ce sont 46,7 % de la population qui crèvent la dalle, soit une incidence de 57,3 % en zone rurale. Les données ont été livrées, hier, par le Consortium pour la recherche économique et sociale (Cres), lors de la deuxième édition du forum de la recherche économique et sociale ayant pour thème : « Le plan Sénégal émergent face au défi de la croissance inclusive ».


Etat de la pauvreté au Sénégal: 46,7 % de la population sénégalaise vivent dans la misère
Près de la moitié de la population sénégalaise patauge dans la pauvreté, selon les dernières estimations de l’Ansd, couvrant la période 2010-2011. Avec une incidence très élevée en milieu rural, soit 57,3% de pauvres. Des efforts considérables ont, certes, été faits, mais la pauvreté étreint encore le Sénégal indépendant, avec une augmentation du nombre de pauvres, atteignant 6,3 millions en 2011 et 6,8 % en 2016.

La pauvreté rurale est plus prononcée dans les régions Sud du pays, à en croire le Directeur exécutif du consortium pour la recherche économique et sociale (Cres). Abdoulaye Diagne reste convaincu que, malgré la mise en œuvre du Plan Sénégal émergent, avec son corollaire de programmes, notamment axés sur les bourses familiales, la Couverture maladie universelle (Cmu), le Programme d’urgence de développement communautaire (Pudc), le Sénégal, classé 51e sur 129 pays en développement, par le classement de Bertelsmann, a encore du pain sur la planche.

Abdoulaye Diagne estime que des réformes sont nécessaires dans les domaines transversaux comme l’administration, l’éducation, le climat des affaires et la politique fiscale.

Le Sénégal indépendant a connu plusieurs programmes de développement. Tous, ou presque, ont montré des limites. Des années 1990, en passant par la dévaluation du franc Cfa en 1994, qui a mollement relancé la croissance économique ; mais pas nettement au-dessus de la croissance démographique, car le niveau de vie ne s’est guère amélioré.

L’Obs


Réagissez ! Vos commentaires nous intéressent. Cliquez ici !

1.Posté par Samba Sy le 20/07/2020 11:18
c'est toujours le néocolonialisme
notre politique de développement encore axée sur la corruption
nos dirigeants ou autorités politique et administratives ne se rendent toujours pas compte de notre énorme et triste retard pour solutionner nos difficultés quotidiennes
j'ai l'impression que ceux qui étaient la avant l'actuel régime ont dilapider nos maigres ressources et ont laisser un héritage vide
ceux qui sont au pouvoir actuel veulent régner éternellement au pouvoir pour ne rien laisser comme leg a la future génération voila notre véritable problème

2.Posté par Xunxunöor le 22/07/2020 12:29
Si on nous éclairait un peu sur la notion de pauvreté ?

Nouveau commentaire :
Facebook Twitter

Merci d'éviter les injures, les insultes et les attaques personnelles. Soyons courtois et respectueux et posons un dialogue positif, franc et fructueux. Les commentaires injurieux seront automatiquement bloqués. Merci d'éviter les trafics d'identité. Les messages des faiseurs de fraude sont immédiatement supprimés.