ors que plusieurs villes et Etats américains commencent à réclamer des dispositifs kill switch dans les smartphones, des géants du secteur, représentés par la CTIA, association des opérateurs et équipementiers mobiles ont annoncé le 15 avril 2014 s’être engagés volontairement pour la mise en place de « technologies antivol » dans les appareils.
Cet accord rassemble cinq des plus grands opérateurs aux Etats-Unis ainsi que des fabricants comme Apple, Google, HTC, Huawei, Motorola, Microsoft Nokia et Samsung. Les signataires s’engagent à proposer, dans tous les appareils vendus à partir du mois de juillet 2015 aux Etats-Unis, un dispositif permettant d’effacer à distance ses données et de rendre le smartphone inutilisable si son propriétaire le décide. Cet accord prévoit également que l’appareil puisse être restauré s’il est retrouvé.
Si de nombreux élus ont salué cet effort, certains comme le sénateur californien Mark Leno, qui a déposé un projet de loi pour un dispositif plus radical, estime qu’il ne va pas assez loin. Il devrait être installé par défaut et non être une option, a-t-il expliqué dans un communiqué, avant d’ironiser sur le fait qu’il y a quelques semaines à peine, les acteurs du secteur jugeaient le procédé qu’ils viennent d’accepter « infaisable et contre-productif ».
Source: 01net.com
Cet accord rassemble cinq des plus grands opérateurs aux Etats-Unis ainsi que des fabricants comme Apple, Google, HTC, Huawei, Motorola, Microsoft Nokia et Samsung. Les signataires s’engagent à proposer, dans tous les appareils vendus à partir du mois de juillet 2015 aux Etats-Unis, un dispositif permettant d’effacer à distance ses données et de rendre le smartphone inutilisable si son propriétaire le décide. Cet accord prévoit également que l’appareil puisse être restauré s’il est retrouvé.
Si de nombreux élus ont salué cet effort, certains comme le sénateur californien Mark Leno, qui a déposé un projet de loi pour un dispositif plus radical, estime qu’il ne va pas assez loin. Il devrait être installé par défaut et non être une option, a-t-il expliqué dans un communiqué, avant d’ironiser sur le fait qu’il y a quelques semaines à peine, les acteurs du secteur jugeaient le procédé qu’ils viennent d’accepter « infaisable et contre-productif ».
Source: 01net.com