Dans le cadre de la phase 1 du projet Grand Tortue Ahmeyin, la mise à l’eau des premiers caissons a été effectuée hier, mardi 18 mai, en présence du Ministre du Pétrole et des énergies Sophie Gladima accompagnée de son homologue mauritanien.
Ces caissons formeront une brise lames en mer de 1, 2 km conçue pour fournir un abri à l’unité flottante de liquéfaction de gaz et aux installations d’exportation face aux conditions météorologiques et océanographiques actuelles.
Chacun d’eux fait 54,5 mètres de long, 28 mètres de large et 32 mètres de hauteur et pèse 16000 tonnes. Ces caissons seront installés sur un lit de roche qui a été extrait en Mauritanie et transporté à travers le pays et le long de la côte.
« Le caisson est une pièce maitresse du projet parce que si on n’a pas de protection, on ne peut pas travailler avec les intempéries et l’intensité des houles qui existent au niveau des frontières sénégalo-mauritaniennes.
Actuellement. Ces caissons constituent le cœur du projet. C’est une infrastructure sans laquelle on ne peut pas réaliser d’autres travaux offshore.
C’est pourquoi nous mettons l’accent sur la qualité de ces caissons pour que d’autres activités qui viendront après puissent se réaliser », a fait savoir l’ingénieur géologue Abdoulaye Niang project support manageur de Bp.
Par ailleurs, il a souligné qu’à la fin du projet, les caissons resteront sur place au port. Ils agiront comme des récifs et seront des zones d’attraction de poissons et de reproduction.
Sud Quotidien
Ces caissons formeront une brise lames en mer de 1, 2 km conçue pour fournir un abri à l’unité flottante de liquéfaction de gaz et aux installations d’exportation face aux conditions météorologiques et océanographiques actuelles.
Chacun d’eux fait 54,5 mètres de long, 28 mètres de large et 32 mètres de hauteur et pèse 16000 tonnes. Ces caissons seront installés sur un lit de roche qui a été extrait en Mauritanie et transporté à travers le pays et le long de la côte.
« Le caisson est une pièce maitresse du projet parce que si on n’a pas de protection, on ne peut pas travailler avec les intempéries et l’intensité des houles qui existent au niveau des frontières sénégalo-mauritaniennes.
Actuellement. Ces caissons constituent le cœur du projet. C’est une infrastructure sans laquelle on ne peut pas réaliser d’autres travaux offshore.
C’est pourquoi nous mettons l’accent sur la qualité de ces caissons pour que d’autres activités qui viendront après puissent se réaliser », a fait savoir l’ingénieur géologue Abdoulaye Niang project support manageur de Bp.
Par ailleurs, il a souligné qu’à la fin du projet, les caissons resteront sur place au port. Ils agiront comme des récifs et seront des zones d’attraction de poissons et de reproduction.
Sud Quotidien