La Première ministre Elisabeth Borne « a décidé de rehausser la posture Vigipirate au niveau urgence attentat », a indiqué Matignon, après une réunion de sécurité à l'Élysée autour du président Emmanuel Macron. Le niveau « urgence attentat » peut être mis en place à la suite immédiate d'un attentat ou si un groupe terroriste identifié et non localisé entre en action.
Le niveau « urgence attentat » du dispositif Vigipirate, qui relève du chef du gouvernement, peut être mis en place à la suite immédiate d'un attentat ou si un groupe terroriste identifié et non localisé entre en action. Il permet la mobilisation exceptionnelle de moyens, mais aussi de diffuser des informations susceptibles de protéger les citoyens dans une situation de crise.
« Sans doute » un lien entre « le Proche-Orient et le passage à l'acte »
La France était jusqu'à présent au niveau « sécurité renforcée – risque attentat » qui correspond à un niveau élevé de la menace terroriste. « Il y a un lien entre ce qu'il s'est passé sans doute dans le Proche-Orient et le passage à l'acte » de l'assaillant, a déclaré sur TF1 le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin.
En France, « il n'y a pas de menace caractérisée, il y a une atmosphère extrêmement négative, notamment du fait de l'appel à des passages à l'acte », a-t-il ajouté. À ce niveau de vigilance, « c'est pour dire à toutes les administrations de faire attention » et « ça permet à nos amis militaires de l'opération Sentinelle de monter en puissance », a expliqué le ministre. « Quelques milliers » de militaires supplémentaires « vont aider la police et la gendarmerie, pour surveiller les centres commerciaux, pour protéger tous les Français dans leur vie de tous les jours ».
(Avec AFP)
Le niveau « urgence attentat » du dispositif Vigipirate, qui relève du chef du gouvernement, peut être mis en place à la suite immédiate d'un attentat ou si un groupe terroriste identifié et non localisé entre en action. Il permet la mobilisation exceptionnelle de moyens, mais aussi de diffuser des informations susceptibles de protéger les citoyens dans une situation de crise.
« Sans doute » un lien entre « le Proche-Orient et le passage à l'acte »
La France était jusqu'à présent au niveau « sécurité renforcée – risque attentat » qui correspond à un niveau élevé de la menace terroriste. « Il y a un lien entre ce qu'il s'est passé sans doute dans le Proche-Orient et le passage à l'acte » de l'assaillant, a déclaré sur TF1 le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin.
En France, « il n'y a pas de menace caractérisée, il y a une atmosphère extrêmement négative, notamment du fait de l'appel à des passages à l'acte », a-t-il ajouté. À ce niveau de vigilance, « c'est pour dire à toutes les administrations de faire attention » et « ça permet à nos amis militaires de l'opération Sentinelle de monter en puissance », a expliqué le ministre. « Quelques milliers » de militaires supplémentaires « vont aider la police et la gendarmerie, pour surveiller les centres commerciaux, pour protéger tous les Français dans leur vie de tous les jours ».
(Avec AFP)