s leaders de l'opposition sénégalaise en hexagone ont noté avec satisfaction une parfaite convergence de vue sur l'analyse de la situation nationale. Ils ont fustigé le régime de Macky Sall dont le bilan, à mi-mandat est désastreux dans tous les domaines.
Ils estiment que la détérioration continue de la situation économique avec les faillites d'entreprises, le délitement du tissu social avec les multiples grèves des enseignants, des étudiants, du secteur de la santé sont la preuve que ce régime est incapable de prendre en charge les préoccupations majeures des Sénégalais.
Ils informent l'opinion que le non-paiement des salaires de certains fonctionnaires est dû au fait que les caisses de l'Etat sont vides, contrairement au mensonge d'Etat arguant d'une prétendue transparence au niveau des effectifs. Cette politique cynique qui prive des milliers de pères de familles de salaires et plonge des familles entières dans la précarité entre dans le cadre de la réduction des dépenses publiques, condition essentielle pour que le Sénégal puisse bénéficier de fonds auprès des bailleurs.
Selon, l'opposition de France, la hausse vertigineuse des frais d'inscription pour les étudiants et les coupes budgétaires dans de nombreux secteurs publics sonnent le retour des politiques d'ajustement structurel que le régime de Macky Sall essaie de cacher aux Sénégalais en invoquant des pseudos réformes.
Ils informent qu'en réalité, ce retour de l'austérité prouve la très mauvaise tenue de nos finances publiques, malgré les déclarations officielles et l'annonce prochaine d'une pluie de milliards en 2014, dans l'unique but de rassurer l'opinion.Au chapitre des libertés, les partis d'opposition dénoncent, de manière énergique, les arrestations ciblées et arbitraires, les multiples atteintes aux droits de l'homme, les entraves à la liberté d'expression et les tentatives de musellement de la presse.
Ils concluent que ces pratiques liberticides risquent de faire basculer le Sénégal dans le lot des dictatures « sans foi, ni loi », et exigent que la réforme relative à la réduction du mandat présidentiel de 7 à 5 ans soit mise en œuvre sans délai.
Les partis d'opposition en France ont convenu de pérenniser ce cadre de dialogue et de concertation, et ont décliné un plan d'actions pour les prochaines semaines à venir pour mobiliser la diaspora sénégalaise en France contre le régime de Macky Sall, dont le mandat est rythmé par des scandales à n'en plus finir.
Pressafrik
Ils estiment que la détérioration continue de la situation économique avec les faillites d'entreprises, le délitement du tissu social avec les multiples grèves des enseignants, des étudiants, du secteur de la santé sont la preuve que ce régime est incapable de prendre en charge les préoccupations majeures des Sénégalais.
Ils informent l'opinion que le non-paiement des salaires de certains fonctionnaires est dû au fait que les caisses de l'Etat sont vides, contrairement au mensonge d'Etat arguant d'une prétendue transparence au niveau des effectifs. Cette politique cynique qui prive des milliers de pères de familles de salaires et plonge des familles entières dans la précarité entre dans le cadre de la réduction des dépenses publiques, condition essentielle pour que le Sénégal puisse bénéficier de fonds auprès des bailleurs.
Selon, l'opposition de France, la hausse vertigineuse des frais d'inscription pour les étudiants et les coupes budgétaires dans de nombreux secteurs publics sonnent le retour des politiques d'ajustement structurel que le régime de Macky Sall essaie de cacher aux Sénégalais en invoquant des pseudos réformes.
Ils informent qu'en réalité, ce retour de l'austérité prouve la très mauvaise tenue de nos finances publiques, malgré les déclarations officielles et l'annonce prochaine d'une pluie de milliards en 2014, dans l'unique but de rassurer l'opinion.Au chapitre des libertés, les partis d'opposition dénoncent, de manière énergique, les arrestations ciblées et arbitraires, les multiples atteintes aux droits de l'homme, les entraves à la liberté d'expression et les tentatives de musellement de la presse.
Ils concluent que ces pratiques liberticides risquent de faire basculer le Sénégal dans le lot des dictatures « sans foi, ni loi », et exigent que la réforme relative à la réduction du mandat présidentiel de 7 à 5 ans soit mise en œuvre sans délai.
Les partis d'opposition en France ont convenu de pérenniser ce cadre de dialogue et de concertation, et ont décliné un plan d'actions pour les prochaines semaines à venir pour mobiliser la diaspora sénégalaise en France contre le régime de Macky Sall, dont le mandat est rythmé par des scandales à n'en plus finir.
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