Le programme a permis de mobiliser quatre étudiants toulousains, deux autres de l’UGB et deux chargés de mission de la Mairie de Toulouse pour un an. Le tout couronné par une expertise scientifique apportée par Vincent Sambou du Centre International de Formation et de Recherche en Energie Solaire (CIFRES), basé à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar.
L’objectif est de mettre en place des cuiseurs et séchoirs solaires à poisson pour permettre aux femmes transformatrices de sécher avant commercialisation leurs poissons. Son fonctionnement est très simple, à l’aide de vitres et d’une inclinaison calculée, le poisson sèche rapidement, à l’abri, et d’une qualité supérieure par rapport aux méthodes artisanales.
La méthode artisanale est plus contraignante en termes d’hygiène puisque les poissons sont séchés directement à l’air libre se mélangeant à la poussière et aux mouches. De plus le poisson met plus de temps à sécher.
Ce mécanisme plus hygiénique (hors d’atteinte des mouches, de la poussière), offre un rendement sécurisé avec un important rendement qui augmente le pouvoir d’achat des femmes. Une relation de confiance nouée avec le client grâce à la qualité du produit ouvre des possibilités d’exportation en Afrique.
La coordination du projet Cuiseurs et séchoirs solaires est assurée par l’ingénieur Samuel Hiault qui travaille en parfaite collaboration avec Boubacar SAGNA, le responsable du programme d’assainissement des quartiers de Diamaguène et de NdiolofèneNord.
En outre, quatre étudiants de IUT Paul Sabatier de Toulouse sont mobilisés pour les besoins de ce projet. Il s’agit d’Adrien BONNEMAYRE, Karine Rova RAJAONARIVONY, Thibaut COUDRAY et Teddy HERVE
Cheikh S.SEYE
L’objectif est de mettre en place des cuiseurs et séchoirs solaires à poisson pour permettre aux femmes transformatrices de sécher avant commercialisation leurs poissons. Son fonctionnement est très simple, à l’aide de vitres et d’une inclinaison calculée, le poisson sèche rapidement, à l’abri, et d’une qualité supérieure par rapport aux méthodes artisanales.
La méthode artisanale est plus contraignante en termes d’hygiène puisque les poissons sont séchés directement à l’air libre se mélangeant à la poussière et aux mouches. De plus le poisson met plus de temps à sécher.
Ce mécanisme plus hygiénique (hors d’atteinte des mouches, de la poussière), offre un rendement sécurisé avec un important rendement qui augmente le pouvoir d’achat des femmes. Une relation de confiance nouée avec le client grâce à la qualité du produit ouvre des possibilités d’exportation en Afrique.
La coordination du projet Cuiseurs et séchoirs solaires est assurée par l’ingénieur Samuel Hiault qui travaille en parfaite collaboration avec Boubacar SAGNA, le responsable du programme d’assainissement des quartiers de Diamaguène et de NdiolofèneNord.
En outre, quatre étudiants de IUT Paul Sabatier de Toulouse sont mobilisés pour les besoins de ce projet. Il s’agit d’Adrien BONNEMAYRE, Karine Rova RAJAONARIVONY, Thibaut COUDRAY et Teddy HERVE
Cheikh S.SEYE