« La plupart des projets de lutte contre l’inaccessibilité de l’eau portable étaient concentrés sur les gros villages qui ont une plus grande capacité de mobilisation de ressources humaines et financières », a dit Therno NDIAYE, en marge de l’ouverture, ce matin, d’un atelier de clôture et de divulgation des résultats de la première phase du projet.
Cette première étape d’une durée de deux ans a permis de mettre en place 6 forages. Trois à Gamadji Saré et trois autres à Dodoel grâce à un financement de 275.000 euros de l’Agence andalouse de coopération (Aacid).
« Le problème de l’accès à l’eau potable est un criard surtout au niveau des petites localités qui ne bénéficient pas de forages. Le système de gestion mis en place est un véritable avantage comparatif », a témoigné Abdoubacry SOW, maire de la Commune de Méry.
Appelant à une « démultiplication » de ce modèle «partout au Sénégal», le premier vice-président du conseil d’administration de l’Ard, souligne « l’importance capitale de l’atelier » et invite les participants à faire preuve d’engagement et d’implication pour identifier les contraintes de la phase et faciliter l’exécution de la deuxième partie du projet.
Les « actions novatrices » et la démarche inclusive imprimée à la démarche d’AWA suscitent la satisfaction des bailleurs.
Pablo MINGUEZ, le représentant de l’Aacid a manifesté son intérêt pour le modèle de gestion que va instaurer le projet, en mettant l’accent sur la valeur du processus formation des comités de gestion. Pour lui, la continuité et la durabilité du programme déprendront de ces paramètres.
Il faut rappeler que le projet AWA s’inspire de l’expérience très concluante du Fond Andalouse des Municipalités pour la Solidarité Internationale (Famsi) en Mauritanie.
Au Sénégal, son apport est décisif, selon le directeur de l’Ard qui magnifiait la générosité de l’Aacid et de la coopération espagnole en général.
« Nous tenons à la remercier pour son engagement et sa clairvoyance dans la recherche de solutions innovantes », a dit Ousmane SOW.
« Nous avons adopté une démarche inclusive qui a donné la place qui revient aux acteurs, aux collectivités et aux sévices techniques déconcentrés », a-t-il ajouté, en expliquant que cette synergie partenariale a permis, de manière satisfaisante, à donner une solution efficace à la lancinante problématique de l’accès à l’eau potable dans les zones rurales ciblées.
Par ailleurs, M. SOW renseigne qu’à l’issue des contacts avec les populations, la préconisation d’une approche intégrée et globale s’impose.
« Nous avons compris que l’âcre à l’eau potable n’était pas le seul problème », a-t-il laissé entendre.
> Suivez, en vidéo, ses explications …
Cette première étape d’une durée de deux ans a permis de mettre en place 6 forages. Trois à Gamadji Saré et trois autres à Dodoel grâce à un financement de 275.000 euros de l’Agence andalouse de coopération (Aacid).
« Le problème de l’accès à l’eau potable est un criard surtout au niveau des petites localités qui ne bénéficient pas de forages. Le système de gestion mis en place est un véritable avantage comparatif », a témoigné Abdoubacry SOW, maire de la Commune de Méry.
Appelant à une « démultiplication » de ce modèle «partout au Sénégal», le premier vice-président du conseil d’administration de l’Ard, souligne « l’importance capitale de l’atelier » et invite les participants à faire preuve d’engagement et d’implication pour identifier les contraintes de la phase et faciliter l’exécution de la deuxième partie du projet.
Les « actions novatrices » et la démarche inclusive imprimée à la démarche d’AWA suscitent la satisfaction des bailleurs.
Pablo MINGUEZ, le représentant de l’Aacid a manifesté son intérêt pour le modèle de gestion que va instaurer le projet, en mettant l’accent sur la valeur du processus formation des comités de gestion. Pour lui, la continuité et la durabilité du programme déprendront de ces paramètres.
Il faut rappeler que le projet AWA s’inspire de l’expérience très concluante du Fond Andalouse des Municipalités pour la Solidarité Internationale (Famsi) en Mauritanie.
Au Sénégal, son apport est décisif, selon le directeur de l’Ard qui magnifiait la générosité de l’Aacid et de la coopération espagnole en général.
« Nous tenons à la remercier pour son engagement et sa clairvoyance dans la recherche de solutions innovantes », a dit Ousmane SOW.
« Nous avons adopté une démarche inclusive qui a donné la place qui revient aux acteurs, aux collectivités et aux sévices techniques déconcentrés », a-t-il ajouté, en expliquant que cette synergie partenariale a permis, de manière satisfaisante, à donner une solution efficace à la lancinante problématique de l’accès à l’eau potable dans les zones rurales ciblées.
Par ailleurs, M. SOW renseigne qu’à l’issue des contacts avec les populations, la préconisation d’une approche intégrée et globale s’impose.
« Nous avons compris que l’âcre à l’eau potable n’était pas le seul problème », a-t-il laissé entendre.
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