Le recteur de l'Université Gaston Berger, le professeur Baydallaye KANE
« La situation des dettes doit être lue à la lumière du manque d’investissement dans l’enseignement supérieur des années 1990 aux années 2000, situation aggravée par l’augmentation des charges », a précisé le recteur de l’Université Gaston Berger (UGB) de Saint-Louis, dans sa lettre mensuelle à la communauté.
« La certification est un acte technique et administratif formel », dit-il, en précisant qu’en 2014, « les dettes de l’UGB avaient atteint près du montant susmentionné » et que « les dettes des universités sont des cumuls de plusieurs années. Les documents mis à disposition le montrent très clairement ».
En saluant « la volonté politique affichée par l’État d’arriver à l’équilibre budgétaire », le professeur KANE note que « des efforts importants ont été faits en 2016 et 2017 avec l’augmentation de la subvention de l’État ».
« Cependant, nous continuerons à solliciter les pouvoirs publics pour des budgets complètement équilibrés et pour la certification et apurement des dettes, seules garanties de stabilité financière durable pour les universités », a ajoute-t-il.
►►► UNIVERSITÉ GASTON BERGER DE SAINT-LOUIS : une dette certifiée à plus de 2 milliards de francs CFA
« Il est vrai que l’on note souvent des retards de salaires, mais jamais de salaires impayés. La principale raison de ces retards, c’est la mise à disposition tardive de la trésorerie. Il faut saluer les efforts de l’administration de l’UGB qui parvient malgré ces difficultés à réduire ces désagréments. Au mois de décembre dernier, par exemple, tous les salaires ont été payés entre le 27 et le 30 », signale le président de l’assemblée de l’UGB.
« Le problème du manque d’informations sur le montant exact des dettes de l’UGB remonte à quelques années déjà et n’incombe nullement au Recteur en exercice ni à ceux qui l’ont précédé. Il est lié à un concours de circonstances », lit-on dans sa lettre parcourue par Ndarinfo.com
Poursuivant, il signale que « maintenant que des informations plus précises sont disponibles, à l’issue d’un processus de rapprochements, elles ont été versées dans les documents préparatoires pour la conférence budgétaire. Le travail continue, pour affiner ces informations ».
Le recteur réitère sa « disponibilité » et son « ouverture à la concertation et au dialogue permanents pour un espace de paix et de concorde », « condition sine qua non, dit-il, pour la résolution collégiale des problèmes et pour de grandes performances pédagogiques et scientifiques ».
NDARINFO.COM
« La certification est un acte technique et administratif formel », dit-il, en précisant qu’en 2014, « les dettes de l’UGB avaient atteint près du montant susmentionné » et que « les dettes des universités sont des cumuls de plusieurs années. Les documents mis à disposition le montrent très clairement ».
En saluant « la volonté politique affichée par l’État d’arriver à l’équilibre budgétaire », le professeur KANE note que « des efforts importants ont été faits en 2016 et 2017 avec l’augmentation de la subvention de l’État ».
« Cependant, nous continuerons à solliciter les pouvoirs publics pour des budgets complètement équilibrés et pour la certification et apurement des dettes, seules garanties de stabilité financière durable pour les universités », a ajoute-t-il.
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« Il est vrai que l’on note souvent des retards de salaires, mais jamais de salaires impayés. La principale raison de ces retards, c’est la mise à disposition tardive de la trésorerie. Il faut saluer les efforts de l’administration de l’UGB qui parvient malgré ces difficultés à réduire ces désagréments. Au mois de décembre dernier, par exemple, tous les salaires ont été payés entre le 27 et le 30 », signale le président de l’assemblée de l’UGB.
« Le problème du manque d’informations sur le montant exact des dettes de l’UGB remonte à quelques années déjà et n’incombe nullement au Recteur en exercice ni à ceux qui l’ont précédé. Il est lié à un concours de circonstances », lit-on dans sa lettre parcourue par Ndarinfo.com
Poursuivant, il signale que « maintenant que des informations plus précises sont disponibles, à l’issue d’un processus de rapprochements, elles ont été versées dans les documents préparatoires pour la conférence budgétaire. Le travail continue, pour affiner ces informations ».
Le recteur réitère sa « disponibilité » et son « ouverture à la concertation et au dialogue permanents pour un espace de paix et de concorde », « condition sine qua non, dit-il, pour la résolution collégiale des problèmes et pour de grandes performances pédagogiques et scientifiques ».
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