Des victimes de l’opération de désencombrement, déroulée par la Commune et ciblant plusieurs petits commerces implantés dans différentes artères de la ville, fustigent un « favoritisme » du Maire Mansour FAYE, au bénéficie des cantines Orange.
« Ils nous ont envoyés au chômage, injustement. Alors que nous avons tous des autorisations livrées depuis le magistère de Ousmane Masseck NDIAYE. Nous leur avons montré nos papiers, mais ils ont fait fi de tout cela », dénonce Abdou CISSE, un des vendeurs dont les kiosques ont été démolis à côté du lycée André Peytavin.
« Nous sommes des pères de famille. Nous gagnions tranquillement notre gagne-pain, ici, sans encombrer personne. Nous sommes juste la cible d’une action politique du maire qui veut montrer, aux yeux des Saint-Louisiens, qu’il travaille », a-t-il dit.
Ces vendeurs s’offusquent par ailleurs du maintien des cantines Orange Money, des plaques TIGO qui n’ont pas subi le même sort.
Dans une sortie, le weekend dernier à Léona, Mansour FAYE avait clairement indiqué sa volonté de poursuivre sa croisade contre « l’anarchie », malgré le fait que cette intervention musclée allait créer des « malheureux ».
Joint au téléphone, le directeur de Cabinet du maire réfute ces accusations brandies par les vendeurs déguerpis et précise que l’installation des points d’Orange fait suite à une étude des Services techniques municipaux. Seydina Ababacar BITEYE de signaler que des réflexions seront menées pour revoir l’emplacement de ces cantines.
Toutefois, les commerçants déguerpis annoncent une manifestation publique pour dénoncer « l’injustice » dont ils sont victimes. « La Mairie doit démolir les cantines « Orange Money », exigent-ils. « Les promoteurs d’Orange ne sont pas plus Saint-Louisiens que nous », arguent-ils.
NDARINFO.COM
« Ils nous ont envoyés au chômage, injustement. Alors que nous avons tous des autorisations livrées depuis le magistère de Ousmane Masseck NDIAYE. Nous leur avons montré nos papiers, mais ils ont fait fi de tout cela », dénonce Abdou CISSE, un des vendeurs dont les kiosques ont été démolis à côté du lycée André Peytavin.
« Nous sommes des pères de famille. Nous gagnions tranquillement notre gagne-pain, ici, sans encombrer personne. Nous sommes juste la cible d’une action politique du maire qui veut montrer, aux yeux des Saint-Louisiens, qu’il travaille », a-t-il dit.
Ces vendeurs s’offusquent par ailleurs du maintien des cantines Orange Money, des plaques TIGO qui n’ont pas subi le même sort.
Dans une sortie, le weekend dernier à Léona, Mansour FAYE avait clairement indiqué sa volonté de poursuivre sa croisade contre « l’anarchie », malgré le fait que cette intervention musclée allait créer des « malheureux ».
Joint au téléphone, le directeur de Cabinet du maire réfute ces accusations brandies par les vendeurs déguerpis et précise que l’installation des points d’Orange fait suite à une étude des Services techniques municipaux. Seydina Ababacar BITEYE de signaler que des réflexions seront menées pour revoir l’emplacement de ces cantines.
Toutefois, les commerçants déguerpis annoncent une manifestation publique pour dénoncer « l’injustice » dont ils sont victimes. « La Mairie doit démolir les cantines « Orange Money », exigent-ils. « Les promoteurs d’Orange ne sont pas plus Saint-Louisiens que nous », arguent-ils.
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