Pour justifier cette fermeture, l'argument sécuritaire a été encore mis sur la table. Le chef de l'Etat a indiqué que les dispositions seront prises pour assurer la sécurité dans les universités et a invité l’ensemble des acteurs à aider les autorités à pacifier ces espaces d’enseignement.
"Il faut que les étudiants, les enseignants nous aident pour pacifier l’espace universitaire. Nous allons prendre toutes les mesures pour sécuriser les universités. On met plus 26% du budget sur l’Education, l’Enseignement supérieur et la Formation. Est-ce qu’on va laisser ce secteur comme ça au nom de quelle liberté ?", a interrogé le chef de l’Etat.
Avant d'enchainer: "Quand il s’est agi de donner les moyens, on l’a fait. Quand on fait autant d’efforts, on ne s’attend pas à avoir un secteur en ébullition permanente, ce n’est pas possible. L’université n’est pas un espace de gladiateurs, c’est un espace de réflexion".
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"Il faut que les étudiants, les enseignants nous aident pour pacifier l’espace universitaire. Nous allons prendre toutes les mesures pour sécuriser les universités. On met plus 26% du budget sur l’Education, l’Enseignement supérieur et la Formation. Est-ce qu’on va laisser ce secteur comme ça au nom de quelle liberté ?", a interrogé le chef de l’Etat.
Avant d'enchainer: "Quand il s’est agi de donner les moyens, on l’a fait. Quand on fait autant d’efforts, on ne s’attend pas à avoir un secteur en ébullition permanente, ce n’est pas possible. L’université n’est pas un espace de gladiateurs, c’est un espace de réflexion".
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