Les syndicalistes n'avalent pas leur colère et décident de manifester leur ras-le-bol en bloquant le système. Ainsi, ils annoncent une greve de 48 heures les 21 et 22 janvier avant d'organiser une marche de protestation dans les jours à venir.
"Nous réclamons le paiement de deux mois de salaires des contractuels dont la majorité se trouve dans des zones difficiles, le règlement des arriérés de motivation, des indemnités pour travaux d'heures supplémentaires, l'annulation de la décision d'affectation des leurs camarades de Louga", a déclaré, ce matin, Abdou Sène le secrétaire de l'Union régionale de ce syndicat.
En demandant à leurs confrères syndicalistes de la capitale du Diambour de suspendre leur grève et de" respecter le mot d'ordre au niveau national », ils ont fustigé « le refus du médecin-chef de sortant de la région de Louga de respecter le principe de gestion démocratique du personnel ».
En a croire les camarades de Mballo Dia Thiam, ce dernier « a exclu des représentants du Sutsas de la commission régionale de déploiement du personnel et créée ainsi les conditions d'instabilité chronique ». « Nos camarades de Louga sont traqués, harcelés, menacés de déguerpissement, et même déguerpis par les autorités locales ».
Ndarinfo.com
"Nous réclamons le paiement de deux mois de salaires des contractuels dont la majorité se trouve dans des zones difficiles, le règlement des arriérés de motivation, des indemnités pour travaux d'heures supplémentaires, l'annulation de la décision d'affectation des leurs camarades de Louga", a déclaré, ce matin, Abdou Sène le secrétaire de l'Union régionale de ce syndicat.
En demandant à leurs confrères syndicalistes de la capitale du Diambour de suspendre leur grève et de" respecter le mot d'ordre au niveau national », ils ont fustigé « le refus du médecin-chef de sortant de la région de Louga de respecter le principe de gestion démocratique du personnel ».
En a croire les camarades de Mballo Dia Thiam, ce dernier « a exclu des représentants du Sutsas de la commission régionale de déploiement du personnel et créée ainsi les conditions d'instabilité chronique ». « Nos camarades de Louga sont traqués, harcelés, menacés de déguerpissement, et même déguerpis par les autorités locales ».
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