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Le DG du CROUS charge la CESL : « que reste-t-il comme insatisfaction pouvant justifier le maintien du mot d’ordre de grève ? »

Mercredi 13 Janvier 2016

Le DG du CROUS charge la CESL : « que reste-t-il comme insatisfaction pouvant justifier le maintien du mot d’ordre de grève ? »
« Nous exposions récemment les réponses aux doléances ou revendications à l’origine de la grève observée depuis quelques jours par les étudiants de l’Université Gaston Berger de Saint-Louis. À présent tout ce qui a été dit, est fait : les bourses sont payées, la pharmacie est suffisamment approvisionnée en médicaments, les « modules FESMAN » sont livrés  ; La construction des pavillons pour 2000 lits a démarré avec l’installation du chantier », a déclaré le directeur du Centre Régional des Œuvres universitaires de Saint-Louis dans un communiqué transmis, mercredi, à la presse.

« Nous rappelons à la communauté  que le Centre Régional des Œuvres universitaires de Saint-Louis (CROUS), sur instruction du ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche,   avec l’appui du Rectorat, s’attèle à l’amélioration continue des conditions d’hébergement, de restauration et d’épanouissement des étudiants », a-t-il dit.

« En moins de 2 ans, le CROUS a augmenté de  plus 1200 places la capacité de ses  deux  restaurants réhabilités, acquis deux grandes  plonges  et 6 000  couverts,  acheté une ambulance médicalisée venue agrandir ce parc à 3 unités,  recruté 1 médecin et 4 infirmiers d’État après la réfection des locaux de l’infirmerie et la construction de salles d’hospitalisation climatisées, construit 6 boutiques offertes aux étudiants qui gèrent leur location, augmenté la subvention à la Commission sociale des étudiants qui est passé de 2,5 à 5 000 000 FCFA en plus de la dotation en tickets, rendu accessible le WIFI au « tour de l’œuf » agréablement aménagé. Et les bourses sont régulièrement payées », révèle M. DIAO.

« Au vu de ce qui précède, une grève pour insuffisance de prise en charge sociale est – elle - acceptable ? Pourquoi donc ne pas regagner les amphis ? », s’est-il interrogé.

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1.Posté par Gabar Ndoye le 14/01/2016 11:25
Les 2/3 de ces étudiants n'ont rien à faire à l'Université. Je les verrais mieux aux champs et dans les ateliers. Et notre pays ne s'en porterait que mieux. Tant que l'Etat fera preuve d'autant de faiblesse envers nos étudiants (entre autres), ce pays n'avancera pas.

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