Le Programme de réduction de la pauvreté et de renforcement des dynamiques de développement économique et social (PRODES), d’un coût de 5 milliards , a été officiellement lancé à Saint-Louis, mercredi, au cours d’un comité régional de développement.
‘’Ce projet, qui remplace le Programme de lutte contre la pauvreté (PRP), va couvrir les régions de Saint-Louis, Matam et Louga, et a été financé par le Grand-Duché de Luxembourg, le PNUD et le gouvernement du Sénégal’’, a dit son coordonnateur, Waldiodio Ndiaye.
Selon M. Ndiaye, le PRODES, d'une durée de cinq ans, a la même cible que les bourses sociales, et va attribuer aux nécessiteux des bourses économiques dont le montant n’a pas encore été fixé, l’objectif étant de lutter contre la pauvreté.
Au cours de l’atelier de lancement, plusieurs intervenants ont déploré le manque de suivi des programmes de lutte contre la pauvreté, qui se suivent sans réussir à atteindre réellement leurs objectifs.
L’incohérence entre lutte contre la pauvreté et contribution à l’émergence a été aussi soulevée par des intervenants qui invitent les responsables du PRODES à revoir l’intitulé de certaines rubriques reprenant ces deux principes.
Une plus grande implication des organisations sociales de base dans le choix et le déroulement des programmes a été aussi souhaitée par des intervenants, qui regrettent leur faible implication. D’où selon eux l’échec souvent enregistré à l’arrivée.
APS
‘’Ce projet, qui remplace le Programme de lutte contre la pauvreté (PRP), va couvrir les régions de Saint-Louis, Matam et Louga, et a été financé par le Grand-Duché de Luxembourg, le PNUD et le gouvernement du Sénégal’’, a dit son coordonnateur, Waldiodio Ndiaye.
Selon M. Ndiaye, le PRODES, d'une durée de cinq ans, a la même cible que les bourses sociales, et va attribuer aux nécessiteux des bourses économiques dont le montant n’a pas encore été fixé, l’objectif étant de lutter contre la pauvreté.
Au cours de l’atelier de lancement, plusieurs intervenants ont déploré le manque de suivi des programmes de lutte contre la pauvreté, qui se suivent sans réussir à atteindre réellement leurs objectifs.
L’incohérence entre lutte contre la pauvreté et contribution à l’émergence a été aussi soulevée par des intervenants qui invitent les responsables du PRODES à revoir l’intitulé de certaines rubriques reprenant ces deux principes.
Une plus grande implication des organisations sociales de base dans le choix et le déroulement des programmes a été aussi souhaitée par des intervenants, qui regrettent leur faible implication. D’où selon eux l’échec souvent enregistré à l’arrivée.
APS