Emmanuel Macron a annoncé dimanche le départ des 1 500 militaires français déployés dans la lutte contre le terrorisme au Niger.
Le régime militaire du Niger a affirmé, lundi 25 septembre, qu'il souhaitait "un cadre négocié" avec la France pour le retrait des troupes françaises de son sol, qu'il exigeait depuis plusieurs semaines et qu'Emmanuel Macron a annoncé pour la fin de l'année 2023.
Les militaires, arrivés au pouvoir le 26 juillet après un putsch, estiment que le départ des 1 500 soldats français déployés dans la lutte contre le terrorisme doit "être établi d'un commun accord pour une meilleure efficacité", selon un communiqué lu à la télévision nationale.
Une présence française "illégale" selon les putschistes
La veille, Emmanuel Macron avait annoncé le retrait du Niger des soldats d'ici la fin de l'année et le retour à Paris de l'ambassadeur à Niamey, Sylvain Itté, "dans les prochaines heures", deux exigences des militaires.
Le régime nigérien dit attendre "que cette déclaration soit suivie d'actes officiels émanant des autorités françaises compétentes" mais aucun mouvement particulier laissant supposer un départ de Sylvain Itté n'a été observé depuis dimanche soir autour de l'ambassade à Niamey.
Début août, quelques jours après le putsch, les militaires avaient dénoncé plusieurs accords de coopération militaire avec Paris, avant de qualifier d'"illégale" la présence des soldats français sur leur sol. Ils avaient ensuite exigé, fin août, l'expulsion de l'ambassadeur de France.
par franceinfo avec AFP
Le régime militaire du Niger a affirmé, lundi 25 septembre, qu'il souhaitait "un cadre négocié" avec la France pour le retrait des troupes françaises de son sol, qu'il exigeait depuis plusieurs semaines et qu'Emmanuel Macron a annoncé pour la fin de l'année 2023.
Les militaires, arrivés au pouvoir le 26 juillet après un putsch, estiment que le départ des 1 500 soldats français déployés dans la lutte contre le terrorisme doit "être établi d'un commun accord pour une meilleure efficacité", selon un communiqué lu à la télévision nationale.
Une présence française "illégale" selon les putschistes
La veille, Emmanuel Macron avait annoncé le retrait du Niger des soldats d'ici la fin de l'année et le retour à Paris de l'ambassadeur à Niamey, Sylvain Itté, "dans les prochaines heures", deux exigences des militaires.
Le régime nigérien dit attendre "que cette déclaration soit suivie d'actes officiels émanant des autorités françaises compétentes" mais aucun mouvement particulier laissant supposer un départ de Sylvain Itté n'a été observé depuis dimanche soir autour de l'ambassade à Niamey.
Début août, quelques jours après le putsch, les militaires avaient dénoncé plusieurs accords de coopération militaire avec Paris, avant de qualifier d'"illégale" la présence des soldats français sur leur sol. Ils avaient ensuite exigé, fin août, l'expulsion de l'ambassadeur de France.
par franceinfo avec AFP