Un atelier de formation et de sensibilisation sur « Médias et Handicap » a eu lieu à Saint-Louis, la semaine dernière. M. Faly Keita, le chef de ce projet « Médias et Handicap », venu de Dakar pour la circonstance, affirme qu’il ne sert à rien d’avoir des journalistes, même sortis des plus grandes écoles, si, de temps en temps, on ne pense pas à renforcer leurs capacités. M. Keita a souligné l’existence d’un deuxième programme de Handicap International, appelé Développement local inclusif, que sa structure détient en partenariat avec le Conseil régional de Saint-Louis, de Matam et de Tombouctou, au Mali, et qui prend en compte la dimension handicap dans les politiques locales.
« L’objet de l’atelier fait suite à une étude menée sur le traitement de l’information liée à l’handicap, son traitement à travers une étude menée dans huit pays de l’Afrique de l’ouest, dont le Sénégal ».
Selon M. Keita, le lexique utilisé par les médias n’est pas toujours approprié. Il souligne avec force qu’il est loin de l’idée de critiquer les médias en Afrique pour l’utilisation de lexique idéal, mais qu’il n’est animé que par le souci de partager les concepts les mieux indiqués pour parler de la question de handicap selon les activités et selon les différents domaines.
Le processus de production du handicap qui permet au journaliste d’avoir en sa possession l’accessibilité de toutes les causes du handicap et tout ce qu’il devrait savoir en termes de traitement de son information, en termes de comportement de la personne handicapée. Il y a une façon de donner l’information sur des sujets handicapés, pour ne pas blesser leur moral déjà sujet à rude épreuve.
Amadou Diagne NIANG
« L’objet de l’atelier fait suite à une étude menée sur le traitement de l’information liée à l’handicap, son traitement à travers une étude menée dans huit pays de l’Afrique de l’ouest, dont le Sénégal ».
Selon M. Keita, le lexique utilisé par les médias n’est pas toujours approprié. Il souligne avec force qu’il est loin de l’idée de critiquer les médias en Afrique pour l’utilisation de lexique idéal, mais qu’il n’est animé que par le souci de partager les concepts les mieux indiqués pour parler de la question de handicap selon les activités et selon les différents domaines.
Le processus de production du handicap qui permet au journaliste d’avoir en sa possession l’accessibilité de toutes les causes du handicap et tout ce qu’il devrait savoir en termes de traitement de son information, en termes de comportement de la personne handicapée. Il y a une façon de donner l’information sur des sujets handicapés, pour ne pas blesser leur moral déjà sujet à rude épreuve.
Amadou Diagne NIANG