Le Centre de Recherche et de Documentation du Sénégal (CRDS) a abrité, jeudi, la célébration de la journée internationale des Musées. À cette occasion, les membres du Conseil international des Musées du Sénégal (ICOM-SENEGAL) se mobilisé dans la ville tricentenaire pour plancher sur le thème «Musées hyperconnectés, nouvelles approches, nouveaux publics».
Mme Fatima FALL, la directrice du CRDS par ailleurs présente du Conseil a salué la pertinence de cette thématique qui interpelle l’avenir des musées.
« Les TIC nous faciliteraient la vie pour la recherche de musées partenaires, pour la valorisation de nos collections (création de musées virtuels) », a-t-il dit en rappelant toutefois que ces outils « peuvent être un danger permanent pour nos collections dans le cadre du trafic illicite de biens culturels », a-t-elle dit.
« Cependant, il est de notre devoir en tant que professionnels et sympathisants du patrimoine muséal de rester en réseaux, de partager nos idées, mais surtout de renforcer la solidarité et la synergie entre nos institutions d’abord et entre nous et nos communautés », a-t-elle ajouté.
Mme FALL a insisté sur la nécessité de renforcer « la synergie, du partage et de la circulation des informations entre nous professionnels, doit être notre crédo ».
Poursuivant, la chercheuse invite entre outre, son organisation à « servir d’autorité de régulation en matière de muséologie au plan national ».
En marge des débats et fructueux échanges, une visite de la réserve du Musée de Saint-Louis a été effectuée en plus d'une excursion sur la Langue de barbarie, au bonheur des enfants venus participer à l'évènement.
Mme Fatima FALL, la directrice du CRDS par ailleurs présente du Conseil a salué la pertinence de cette thématique qui interpelle l’avenir des musées.
« Les TIC nous faciliteraient la vie pour la recherche de musées partenaires, pour la valorisation de nos collections (création de musées virtuels) », a-t-il dit en rappelant toutefois que ces outils « peuvent être un danger permanent pour nos collections dans le cadre du trafic illicite de biens culturels », a-t-elle dit.
« Cependant, il est de notre devoir en tant que professionnels et sympathisants du patrimoine muséal de rester en réseaux, de partager nos idées, mais surtout de renforcer la solidarité et la synergie entre nos institutions d’abord et entre nous et nos communautés », a-t-elle ajouté.
Mme FALL a insisté sur la nécessité de renforcer « la synergie, du partage et de la circulation des informations entre nous professionnels, doit être notre crédo ».
Poursuivant, la chercheuse invite entre outre, son organisation à « servir d’autorité de régulation en matière de muséologie au plan national ».
En marge des débats et fructueux échanges, une visite de la réserve du Musée de Saint-Louis a été effectuée en plus d'une excursion sur la Langue de barbarie, au bonheur des enfants venus participer à l'évènement.