Dakar n'est pas la seule ville à faire face à la vague sécuritaire qui précède la visite du président américain Barack Obama. Dans la capitale sénégalaise où la sécurité du couple présidentiel américaine coûte nombre de désagréments aux Dakarois, les agents de renseignements, éléments des forces de sécurité sénégalais et américains sont sur le qui-vive.
À Saint-Louis, une région frontalière avec la République islamique de Mauritanie et le Mali, un pays en proie à une guerre entre " islamistes " et forces africaine et française, la vigilance est également de mise. Les Américains craignant des infiltrations de masse du réseau terroriste Al Qaïda, un élément des forces de l'ordre très versé dans les déplacements transfrontaliers assure que la sécurité a été renforcée de façon conséquente depuis jeudi dernier. Aucun détail n'est négligé.
D'ailleurs, selon des sources de nos confrères de L'Observateur, depuis le 20 juin dernier, dix huit (18) éléments de l'Agence centrale de Renseignement (Cia) en civil sont en train de travailler en étroite collaboration avec les forces de sécurité de la Mauritanie et du Sénégal pour surveiller la pénétration d'éventuels terroristes dans le territoire sénégalais via le fleuve Sénégal, le Bac de Rosso, la frontière de Boyo et la voie routière.
Rien que durant le week-end, « 98 individus ont été interpellés et les rafles vont se poursuivre jusqu'après le départ de l'hôte de marque du Sénégal », soutient une source policière.
Seneweb
À Saint-Louis, une région frontalière avec la République islamique de Mauritanie et le Mali, un pays en proie à une guerre entre " islamistes " et forces africaine et française, la vigilance est également de mise. Les Américains craignant des infiltrations de masse du réseau terroriste Al Qaïda, un élément des forces de l'ordre très versé dans les déplacements transfrontaliers assure que la sécurité a été renforcée de façon conséquente depuis jeudi dernier. Aucun détail n'est négligé.
D'ailleurs, selon des sources de nos confrères de L'Observateur, depuis le 20 juin dernier, dix huit (18) éléments de l'Agence centrale de Renseignement (Cia) en civil sont en train de travailler en étroite collaboration avec les forces de sécurité de la Mauritanie et du Sénégal pour surveiller la pénétration d'éventuels terroristes dans le territoire sénégalais via le fleuve Sénégal, le Bac de Rosso, la frontière de Boyo et la voie routière.
Rien que durant le week-end, « 98 individus ont été interpellés et les rafles vont se poursuivre jusqu'après le départ de l'hôte de marque du Sénégal », soutient une source policière.
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