L’inquiétude règne chez les habitants de ces villages. « Si le gouvernement ne vient pas à notre secours, nous serons en difficulté », a confié Yaya Lah, qui dirige une association de producteurs vivants dans ces quatre villages. « Nous possédons deux périmètres irrigués pour la culture de riz. L’un a une superficie de 30 hectares et est financé avec cinq millions de francs CFA. L’autre s’étend sur 75 hectares et a reçu un financement de 14 millions. Un autre champ, réservé aux cultures maraîchères et vivrières, est aussi sous les eaux », a-t-il expliqué.
Les producteur qui exploitent ces champs ont bénéficié de prêts de la Caisse nationale de crédit agricole du Sénégal (CNCAS) renseigne M. Lah. De fait, « La CNCAS exige le remboursement de la dette après les récoltes, sans tenir compte des dommages que nous avons subis. C’est la raison pour laquelle nous sollicitons le gouvernement, pour être en mesure de rembourser les dettes que nous avons contractées », a-t-il fait savoir.
Les producteur qui exploitent ces champs ont bénéficié de prêts de la Caisse nationale de crédit agricole du Sénégal (CNCAS) renseigne M. Lah. De fait, « La CNCAS exige le remboursement de la dette après les récoltes, sans tenir compte des dommages que nous avons subis. C’est la raison pour laquelle nous sollicitons le gouvernement, pour être en mesure de rembourser les dettes que nous avons contractées », a-t-il fait savoir.