Le Chef de l’Etat Macky Sall a appelé les chefs religieux à la concertation et voir la possibilité à l’Etat de prendre en charge ce volet de l’observation du croissant lunaire. Il s’agira, pour l’Etat, par les moyens dont il dispose, de voir comment travailler autour d’une entité, en collaboration avec les pays de la sous-région, de ses diplomates installés partout dans le monde et apporter une solution rapide à cette situation regrettable, pour le Président.
Macky Sall a, toutefois, invité les sénégalais, notamment, musulmans, à tolérer le désaccord de divers segments de la communauté musulmane dans la célébration de l’Aïd-el-Fitr (Korité), résultant, selon lui, de la « liberté de foi » de chaque individu. « Il faut l’accepter, c’est le résultat de la liberté de foi de chaque individu, chaque communauté. Certains ont prié hier, aujourd’hui, d’autres, avant-hier. L’essentiel est que Dieu sait qui a la vérité, Dieu est miséricorde », a-t-il dit, après la prière, à la Grande mosquée de Dakar.
A ce propos d’ailleurs, il a souligné que la foi est un domaine privé. « La constitution garantit, à chaque individu, la liberté dans ses croyances. C’est une matière où l’Etat ne peut pas décréter, sauf si les chefs religieux, les confréries et les grands imams donnent à l’Etat ce pouvoir », a souligné Macky Sall.
REwmi
Macky Sall a, toutefois, invité les sénégalais, notamment, musulmans, à tolérer le désaccord de divers segments de la communauté musulmane dans la célébration de l’Aïd-el-Fitr (Korité), résultant, selon lui, de la « liberté de foi » de chaque individu. « Il faut l’accepter, c’est le résultat de la liberté de foi de chaque individu, chaque communauté. Certains ont prié hier, aujourd’hui, d’autres, avant-hier. L’essentiel est que Dieu sait qui a la vérité, Dieu est miséricorde », a-t-il dit, après la prière, à la Grande mosquée de Dakar.
A ce propos d’ailleurs, il a souligné que la foi est un domaine privé. « La constitution garantit, à chaque individu, la liberté dans ses croyances. C’est une matière où l’Etat ne peut pas décréter, sauf si les chefs religieux, les confréries et les grands imams donnent à l’Etat ce pouvoir », a souligné Macky Sall.
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