Ce lundi 16 janvier 1933, mission réussie pour l’aviateur français Jean Mermoz qui se proposait de réaliser un voyage de démonstration commerciale, mettant en relief toutes les capacités de son avion trimoteur l’« Arc-en-Ciel » pensé par l’ingénieur Couzinet.
C’est ainsi que ce lundi 16 janvier 1933, Jean Mermoz, assisté du pilote Carretier, du navigateur Mailloux, du mécanicien Jousse et du radiotélégraphiste Manuel, se pose à Natal au Brésil à 19 h 15 (heure française), après avoir traversé l’Atlantique Sud avec succès, partant de Saint-Louis au Sénégal à 4 h 48 (heure française). Cette étape de quelque 3 200 kilomètres, qui constitue la troisième partie du voyage, a été bouclée en 14 h 27, l’« Arc-en-Ciel » évoluant à une moyenne horaire de 221,340 kilomètres.
Comme le voulait Couzinet, ce périple d’Europe en Amérique du Sud, via l’Afrique, prouve que l’avion est tout à fait capable d’assurer la liaison postale entre la France et l’Argentine (un peu plus loin que le Brésil), puisqu’il a couvert avec succès le trajet Istres – Port-Etienne, Port-Etienne – Saint-Louis, Saint-Louis – Natal, du 12 au 16 décembre 1933.
Avec air-journal.fr
C’est ainsi que ce lundi 16 janvier 1933, Jean Mermoz, assisté du pilote Carretier, du navigateur Mailloux, du mécanicien Jousse et du radiotélégraphiste Manuel, se pose à Natal au Brésil à 19 h 15 (heure française), après avoir traversé l’Atlantique Sud avec succès, partant de Saint-Louis au Sénégal à 4 h 48 (heure française). Cette étape de quelque 3 200 kilomètres, qui constitue la troisième partie du voyage, a été bouclée en 14 h 27, l’« Arc-en-Ciel » évoluant à une moyenne horaire de 221,340 kilomètres.
Comme le voulait Couzinet, ce périple d’Europe en Amérique du Sud, via l’Afrique, prouve que l’avion est tout à fait capable d’assurer la liaison postale entre la France et l’Argentine (un peu plus loin que le Brésil), puisqu’il a couvert avec succès le trajet Istres – Port-Etienne, Port-Etienne – Saint-Louis, Saint-Louis – Natal, du 12 au 16 décembre 1933.
Avec air-journal.fr