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Cette enquête effectuée dans les trois de départements de la région s’est penchée sur une cible constituée des enfants de 0 à 59 ans. Elle s’et faite en même tant qu’une étude sur le taux d’iodation dans les ménages.
Elle révèle selon, Mme Ndoye, que le taux de prévalence de la malnutrition dans le département de Saint-Louis est satisfaisant, contrairement à Podor, situé dans la zone rouge.
Saint-Louis obtient une mention de 5,5 % (7.7% des garçons et 3.4% des filles) contre 15.5% pour Podor (14.9% des garçons et 16% des filles). Dagana enregistre un pourcentage de 11,4% avec 12.6% de garçons et 10.4% de filles
Globalement, la prévalence de la malnutrition au niveau régional atteint 11.8%( 12.6% de Garçons, 11.1% des filles) et 1588 enfants atteints et certaines zones comme Ranérou, Kanel et Podor provoquent de sérieuses craintes.
Pour palier à la mauvaise note de cette partie du Fouta et maintenir les acquis pour les autres départements (Dagana et Saint-Louis), La CLM propose, à court terme, de mettre en œuvre un plan de riposte au niveau des zones prioritaires d’intervention.
La conduite d’un processus de dialogue communautaire participatif est envisagée avec l’identification des déterminants de la malnutrition, au niveau local.
A long terme, un renforcement de l’approche sectorielle est prévu et l’installation d’une plateforme d’intervention sectorielle au niveau communautaire pour une meilleure synergie des interventions.
Cheikh Saad Bou SEYE
Elle révèle selon, Mme Ndoye, que le taux de prévalence de la malnutrition dans le département de Saint-Louis est satisfaisant, contrairement à Podor, situé dans la zone rouge.
Saint-Louis obtient une mention de 5,5 % (7.7% des garçons et 3.4% des filles) contre 15.5% pour Podor (14.9% des garçons et 16% des filles). Dagana enregistre un pourcentage de 11,4% avec 12.6% de garçons et 10.4% de filles
Globalement, la prévalence de la malnutrition au niveau régional atteint 11.8%( 12.6% de Garçons, 11.1% des filles) et 1588 enfants atteints et certaines zones comme Ranérou, Kanel et Podor provoquent de sérieuses craintes.
Pour palier à la mauvaise note de cette partie du Fouta et maintenir les acquis pour les autres départements (Dagana et Saint-Louis), La CLM propose, à court terme, de mettre en œuvre un plan de riposte au niveau des zones prioritaires d’intervention.
La conduite d’un processus de dialogue communautaire participatif est envisagée avec l’identification des déterminants de la malnutrition, au niveau local.
A long terme, un renforcement de l’approche sectorielle est prévu et l’installation d’une plateforme d’intervention sectorielle au niveau communautaire pour une meilleure synergie des interventions.
Cheikh Saad Bou SEYE
