Dans un communiqué transmis à Ndarinfo, Ibrahima DIAO, le directeur du Centre Régional des Œuvres Universitaires de Saint-Louis (Crous), soutient que « la Direction du CROUS n’a jamais envisagé de déposer une plainte contre ses pensionnaires, malgré les provocations et autres dérapages notés depuis le début des événements ».
« L’arrestation des 7 étudiants pour filouterie de nourritures et séquestration d’autorités, fait suite aux affrontements avec les forces de l’ordre réquisitionnées par l’autorité pour mettre un terme aux «journées sans tickets » décidées par la Commission sociale », ajoute-t-il.
Une déclaration que réfute Mouhamed DIOUF, le coordonnateur de séance de la Commission sociale des étudiants joint au téléphone. « À la barre, Le Procureur a tenté de joindre au téléphone le directeur du Crous, en vain. C’est pour cela que le procès a été renvoyé. Il nous a dit que cette interpellation à la barre fait suite à une plainte du directeur du Crous. D’ailleurs, un de ses proches éléments était au procès ».
Pour le motif de « séquestration d’autorités », évoqué par le Crous dans son communiqué reçu à NdarInfo.com, M. DIOUF nie en bloc. « Comment pouvions-nous séquestrer et saccager le bureau du recteur alors que nous étions en arrestation ? », s’interroge-t-il.
Dans son texte, la Direction du CROUS « invite les étudiants à l’apaisement et au refus de la manipulation pour achever l’année universitaire dans la sérénité ».
NDARINFO.COM
« L’arrestation des 7 étudiants pour filouterie de nourritures et séquestration d’autorités, fait suite aux affrontements avec les forces de l’ordre réquisitionnées par l’autorité pour mettre un terme aux «journées sans tickets » décidées par la Commission sociale », ajoute-t-il.
Une déclaration que réfute Mouhamed DIOUF, le coordonnateur de séance de la Commission sociale des étudiants joint au téléphone. « À la barre, Le Procureur a tenté de joindre au téléphone le directeur du Crous, en vain. C’est pour cela que le procès a été renvoyé. Il nous a dit que cette interpellation à la barre fait suite à une plainte du directeur du Crous. D’ailleurs, un de ses proches éléments était au procès ».
Pour le motif de « séquestration d’autorités », évoqué par le Crous dans son communiqué reçu à NdarInfo.com, M. DIOUF nie en bloc. « Comment pouvions-nous séquestrer et saccager le bureau du recteur alors que nous étions en arrestation ? », s’interroge-t-il.
Dans son texte, la Direction du CROUS « invite les étudiants à l’apaisement et au refus de la manipulation pour achever l’année universitaire dans la sérénité ».
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