Bac à ordures oublié sur la digue de Ndioloffène
Devant l’échec du système actuel de collecte et de traitement des ordures ménagères, l’adoption de nouvelles méthodes de lutte, s’impose. Sur la digue de PIKINE et de NDIOLOFENE, au bassin de rétention de 700, derrière le stade Babacar SEYE, sur les berges et dans d’autres endroits de la ville, la situation devient de plus en plus catastrophique.
En plus de mettre en danger la bonne santé des populations, la propagation des déchets issus des concessions fait perdre à Saint-Louis sa brillance et son attirance touristique, si elle ne l’avait pas déjà perdue.
Pour un environnementaliste, la mairie de Mansour FAYE devrait s’inspirer des modèles de certaines villes marocaines, dont TANGER. Celles-ci ont confié, depuis, la gestion des ordures ménagères à des entreprises privées.
« Ces entreprises spécialisées devront répondre aux exigences d’un cahier des charges. Avec cette rigueur imposée, l’activité de collecte sera correcte et professionnelle », explique-t-il dans un entretien accordé à NDARINFO. « Les agents qui refuseront de faire le travail convenablement seront simplement remerciés sans état d’âme », a-t-il ajouté.
« Les GIEs CETOM seront intégrés dans le dispositif de l’entreprise. Ils seront rémunérés mensuellement en fonction de leurs taches. L’efficacité de leurs activités pourra être ainsi parfaitement évaluée. Cela mettre un terme aux rapports souvent conflictuels entre la Commune et ces groupements », a-t-il ajouté.
Si cette proposition semble être une bonne option, le changement des mentalités des populations, est une nécessité. Il est, en effet, plus qu’urgent d’informer et de sensibiliser ces dernières sur leur devoir de préserver la propreté du cadre de vie. Pour cela, toutes les notabilités religieuses et leaders d’opinion à Saint-Louis doivent être associés afin qu’ils participent pleinement à la dynamique.
En plus de mettre en danger la bonne santé des populations, la propagation des déchets issus des concessions fait perdre à Saint-Louis sa brillance et son attirance touristique, si elle ne l’avait pas déjà perdue.
Pour un environnementaliste, la mairie de Mansour FAYE devrait s’inspirer des modèles de certaines villes marocaines, dont TANGER. Celles-ci ont confié, depuis, la gestion des ordures ménagères à des entreprises privées.
« Ces entreprises spécialisées devront répondre aux exigences d’un cahier des charges. Avec cette rigueur imposée, l’activité de collecte sera correcte et professionnelle », explique-t-il dans un entretien accordé à NDARINFO. « Les agents qui refuseront de faire le travail convenablement seront simplement remerciés sans état d’âme », a-t-il ajouté.
« Les GIEs CETOM seront intégrés dans le dispositif de l’entreprise. Ils seront rémunérés mensuellement en fonction de leurs taches. L’efficacité de leurs activités pourra être ainsi parfaitement évaluée. Cela mettre un terme aux rapports souvent conflictuels entre la Commune et ces groupements », a-t-il ajouté.
Si cette proposition semble être une bonne option, le changement des mentalités des populations, est une nécessité. Il est, en effet, plus qu’urgent d’informer et de sensibiliser ces dernières sur leur devoir de préserver la propreté du cadre de vie. Pour cela, toutes les notabilités religieuses et leaders d’opinion à Saint-Louis doivent être associés afin qu’ils participent pleinement à la dynamique.
Une poubelle non récupérée sur la digue de Ndioloffène
Poubelles non récupérées à l'entrée de Sindoné
NDARINFO.COM