Le secrétaire exécutif du Comité national de lutte contre le sida (CNLS), Dr Ibra Ndoye, a invité, mercredi, les responsables des districts sanitaires à faire siennes les bonnes pratiques pour faire face à la raréfaction des ressources consécutive au retrait de certains bailleurs.
‘’Il faut que les responsables des districts prennent exemple sur des bonnes pratiques notées dans certaines localités où le comité de santé a été mis à contribution pour la prise en charge de certaines dépenses au profit des populations’’, a déclaré Dr Ndoye, intervenant au cours de la revue annuelle du Programme sida à Saint-Louis.
Les districts de Nioro (Kaolack), Bounkiling (Sdhiou) et Sinthiou Malème (Tambacounda) se distinguent notamment par la réaction positive manifestée par leurs responsables pour s’adapter à la nouvelle donne, a dit le secrétaire exécutif du CNLS.
Face aux bailleurs qui de plus en plus rechignent à financer des activités
liées à la sensibilisation pour la lutte contre le VIH, il appelle les districts à explorer la voie des collectivités locales dont les missions recoupent leur préoccupation.
Selon lui, des entreprises établies dans les régions doivent aussi s’impliquer dans le financement de la lutte contre le sida.
Durant cette rencontre, les participants ont émis le souhait pour une systématisation de la cogestion de la tuberculose et du sida et l’acceptation de la prise en charge des personnes vivant avec le virus par les districts.
La nécessité de pallier les manquements liés au boycott des statistiques par un engagement plus prononcé dans la quête des résultats enregistrés durant cette période a été aussi au centre des discussions entre professionnels de la santé.
Le district de Pété (Podor) a été félicité pour avoir, malgré son enclavement, abattu un travail important dans la prise en charge des personnes affectées par le sida.
‘’Il faut que les responsables des districts prennent exemple sur des bonnes pratiques notées dans certaines localités où le comité de santé a été mis à contribution pour la prise en charge de certaines dépenses au profit des populations’’, a déclaré Dr Ndoye, intervenant au cours de la revue annuelle du Programme sida à Saint-Louis.
Les districts de Nioro (Kaolack), Bounkiling (Sdhiou) et Sinthiou Malème (Tambacounda) se distinguent notamment par la réaction positive manifestée par leurs responsables pour s’adapter à la nouvelle donne, a dit le secrétaire exécutif du CNLS.
Face aux bailleurs qui de plus en plus rechignent à financer des activités
liées à la sensibilisation pour la lutte contre le VIH, il appelle les districts à explorer la voie des collectivités locales dont les missions recoupent leur préoccupation.
Selon lui, des entreprises établies dans les régions doivent aussi s’impliquer dans le financement de la lutte contre le sida.
Durant cette rencontre, les participants ont émis le souhait pour une systématisation de la cogestion de la tuberculose et du sida et l’acceptation de la prise en charge des personnes vivant avec le virus par les districts.
La nécessité de pallier les manquements liés au boycott des statistiques par un engagement plus prononcé dans la quête des résultats enregistrés durant cette période a été aussi au centre des discussions entre professionnels de la santé.
Le district de Pété (Podor) a été félicité pour avoir, malgré son enclavement, abattu un travail important dans la prise en charge des personnes affectées par le sida.