L'initiative "Startup-Weekend", conçu comme un centre incubateur d'emplois, a étendu ses tentacules vendredi à Saint-Louis où de jeunes porteurs de projets défendront jusqu'à dimanche leurs idées devant une assistance multiforme, dans l’espoir de les voir se concrétiser en projets bancables, a constaté l'APS.
Selon le facilitateur tunisien Mohamed Amin Ouni, "Startup-weekend" est une expérience née en 2007 aux Etats-Unis à l’initiative d’un groupe d’étudiants désireux de trouver un emploi en sortant du cursus normal par le développant de leur propre entreprise.
Depuis, l’idée a essaimé à travers le monde et à travers des rencontres réunissant des profils différents la création d'entreprises, avec l'appui d'investisseurs, explique M. Ouni, selon qui cette expérience a maintenant cours dans 85 pays, 400 villes pour 63.000 participants.
Il évalue à 30 pour cent les chances de voir les cas présentés aboutir à un projet bancable dans différents domaines même si les nouvelles techniques de communication restent le socle sur lequel s’appuient ces jeunes pour s’établir à leur propre compte.
Cette initiative vise à pousser les jeunes à développer une culture entrepreneuriale et à lutter contre le chômage, indique le facilitateur tunisien. Après Dakar en mars dernier, Saint-Louis est la deuxième ville ciblée au Sénégal.
‘’L’avantage du concept est son ouverture et la possibilité de l’adapter à toutes les cultures’’, a souligné M. Ouni.
A l’initiative du "Startup weekend" à Saint-Louis, Isseu Kounta a fait part de sa volonté ‘’de montrer que dans cette ville les choses bougent, que les jeunes ont des idées dans leur tête’’.
''+Startup+ est aussi une opportunité pour ces jeunes de sortir de leur tour d’ivoire et d’affronter le monde extérieur en présentant leurs projets avec des chances de les voir financés’’, ajoute Mlle Kounta, selon qui "des perspectives de formation s’ouvrent pour ces jeunes dont 3 seront sélectionnés’’ à l'issue de cette manifestation.
‘’Ils pourront aussi participer à la compétition mondiale’’, a-t-elle dit, mettant l’accent sur le réseautage dont ils vont bénéficier pour aller à la rencontre des investisseurs.
Ce projet est appuyé par la SONATEL, l'opérateur histoire des télécommunications au Sénégal, représentée par Nafissatou Dia, son chef de département communication qui a fait part de la fierté de son entreprise d’accompagner une telle initiative.
La société des télécommunications accompagne ces jeunes en mettant à leur disposition les moyens techniques notamment l’Internet haut débit pour la mise en place de sites pour les projets.
APS
Selon le facilitateur tunisien Mohamed Amin Ouni, "Startup-weekend" est une expérience née en 2007 aux Etats-Unis à l’initiative d’un groupe d’étudiants désireux de trouver un emploi en sortant du cursus normal par le développant de leur propre entreprise.
Depuis, l’idée a essaimé à travers le monde et à travers des rencontres réunissant des profils différents la création d'entreprises, avec l'appui d'investisseurs, explique M. Ouni, selon qui cette expérience a maintenant cours dans 85 pays, 400 villes pour 63.000 participants.
Il évalue à 30 pour cent les chances de voir les cas présentés aboutir à un projet bancable dans différents domaines même si les nouvelles techniques de communication restent le socle sur lequel s’appuient ces jeunes pour s’établir à leur propre compte.
Cette initiative vise à pousser les jeunes à développer une culture entrepreneuriale et à lutter contre le chômage, indique le facilitateur tunisien. Après Dakar en mars dernier, Saint-Louis est la deuxième ville ciblée au Sénégal.
‘’L’avantage du concept est son ouverture et la possibilité de l’adapter à toutes les cultures’’, a souligné M. Ouni.
A l’initiative du "Startup weekend" à Saint-Louis, Isseu Kounta a fait part de sa volonté ‘’de montrer que dans cette ville les choses bougent, que les jeunes ont des idées dans leur tête’’.
''+Startup+ est aussi une opportunité pour ces jeunes de sortir de leur tour d’ivoire et d’affronter le monde extérieur en présentant leurs projets avec des chances de les voir financés’’, ajoute Mlle Kounta, selon qui "des perspectives de formation s’ouvrent pour ces jeunes dont 3 seront sélectionnés’’ à l'issue de cette manifestation.
‘’Ils pourront aussi participer à la compétition mondiale’’, a-t-elle dit, mettant l’accent sur le réseautage dont ils vont bénéficier pour aller à la rencontre des investisseurs.
Ce projet est appuyé par la SONATEL, l'opérateur histoire des télécommunications au Sénégal, représentée par Nafissatou Dia, son chef de département communication qui a fait part de la fierté de son entreprise d’accompagner une telle initiative.
La société des télécommunications accompagne ces jeunes en mettant à leur disposition les moyens techniques notamment l’Internet haut débit pour la mise en place de sites pour les projets.
APS