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​Cheikh TOURE : les parents disent niet au redéploiement (vidéo)

Lundi 15 Octobre 2018

Les parents de l’école Cheikh TOURE ne partagent pas la décision prise par l’administration territoriale de Saint-Louis de redéployer les élèves dans d’autres établissements. À la suite d’une assemblée générale tenue ce matin, le Comité de Gestion annonce le maintien des enfants «  jusqu’à nouvel ordre ».

Le CGE exige en effet la construction d’un mur pour séparer la partie menacée de celle en sécurité.

«  Une forte déperdition scolaire a été notée depuis la mesure de redéploiement. C’est une situation déplorable. Nous constatons une volonté claire de fermer l’établissement sans études sérieuses au préalable et sans concertation. C’est un manque de considération à l’endroit du quartier », a-t-il dit.

 

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1.Posté par Xunxunöor le 16/10/2018 11:40 | Alerter
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Ah mes parents de Guet Ndar ! Impayables ! Un mur ! Savent ils seulement, eux, des gens de la mer, qu'on n'arrête pas celle-ci avec ses bras? Il faut penser à la vie des enfants, et à celle de leurs maîtres, c'est ça le problème.

2.Posté par Mouhammed Lamin le 16/10/2018 17:55 | Alerter
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Waa senegal warr nanou sett nakk bou bah pour 2019. Settal li Monsieur Mousarie DG BP Senegal wakh waa Financial Time journal Anglais. Pardon dama ka traduire tchi google translate nak FT dou nandou partager.

L’administration de M. Sall élabore actuellement des plans pour rationner le montant des recettes provenant des hydrocarbures dégagé pour les dépenses publiques immédiates, le reste étant réservé aux investissements souverains à plus long terme.

Les sociétés pétrolières et gazières ont également cherché à réduire leurs attentes concernant leur impact économique. Toute la production, la transformation et les exportations se feront d’abord à partir d’infrastructures offshore flottantes, ce qui limitera la charge de travail des locaux. «Nous voulons éviter de penser que nous allons employer des milliers de personnes», déclare Geraud Moussarie, responsable pays de BP au Sénégal.

À plus long terme, toutefois, il est possible de développer un secteur de services pétroliers local et de bénéficier des prix plus bas de l'électricité si une infrastructure est mise en place pour amener le gaz à terre et produire de l'électricité. «Nous allons être ici pendant des décennies», a déclaré M. Moussarie. "Nous voulons donc construire une relation mutuellement bénéfique."

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