
Le collectif des impactés du lot 6 de l’autoroute Dakar–Saint-Louis, situé sur le tronçon Tivaouane–Saint-Louis, a tenu un point de presse hier samedi pour réclamer une indemnisation en espèces, accusant l’Ageroute de refuser d'engager la procédure prévue.
Selon Vieux Ndoye, président du collectif, un document de référence a pourtant été validé d’un commun accord entre l’État du Sénégal et ses bailleurs de fonds. Celui-ci permet aux personnes impactées de choisir entre une compensation financière ou en nature pour les terrains expropriés.
« Aujourd’hui, l’Ageroute veut nous imposer des terrains. Ils forcent la main aux populations alors que le document est clair : c’est à nous de choisir », déclare-t-il.
Le collectif affirme que toutes les couches sociales concernées ont opté pour une indemnisation en espèces, estimant que cette forme de compensation est plus adaptée à leur situation économique.
« Il y a énormément de personnes désœuvrées parmi les impactés. Nous nous battons pour qu’elles reçoivent une compensation juste, à la hauteur de la valeur de leurs terres », ajoute Vieux Ndoye.
Selon Vieux Ndoye, président du collectif, un document de référence a pourtant été validé d’un commun accord entre l’État du Sénégal et ses bailleurs de fonds. Celui-ci permet aux personnes impactées de choisir entre une compensation financière ou en nature pour les terrains expropriés.
« Aujourd’hui, l’Ageroute veut nous imposer des terrains. Ils forcent la main aux populations alors que le document est clair : c’est à nous de choisir », déclare-t-il.
Le collectif affirme que toutes les couches sociales concernées ont opté pour une indemnisation en espèces, estimant que cette forme de compensation est plus adaptée à leur situation économique.
« Il y a énormément de personnes désœuvrées parmi les impactés. Nous nous battons pour qu’elles reçoivent une compensation juste, à la hauteur de la valeur de leurs terres », ajoute Vieux Ndoye.