Le 29 juin, une surveillance de routine a permis de confirmer un cas de virus Ebola dans le comté de Margibi au Libéria. Le premier dans le pays depuis le 20 mars dernier. « Il s’agit d’un jeune homme de 17 ans, infecté le 21 juin », explique Tarik Jašarevi?, porte-parole de l’OMS.
Le patient est décédé une semaine plus tard. A noter qu’il a été inhumé de façon sécurisée le même jour. « Plus d’une centaine de personnes ayant été en contact avec le jeune homme sont d’ores et déjà placées en quarantaine », continue Tarik Jašarevi?. « Mais il semble bien, comme l’a annoncé le ministère de la santé libérien, que deux d’entre eux soient déjà infectés. Nous sommes dans l’attente d’une confirmation. »
Quid de la transmission ? « Nous avons dépêché des spécialistes sur place », répond Tarik Jašarevi?. « Nous ne connaissons pas encore les détails de cette nouvelle chaîne de transmission. » Mais pour le porte parole, si une épidémie devait repartir, elle serait sans doute de moindre ampleur dans la mesure où « les services sanitaires sur place sont aujourd’hui mieux préparés qu’il y a un an et demi. »
Rappelons enfin que si le Libéria avait été déclaré exempt d’Ebola il y a 2 mois, il n’en va pas de même pour la Guinée et la Sierra Léone, eux aussi gravement touchés par le virus. Bien entendu, le nombre de personnes touchées s’est considérablement réduit au fil des mois, mais les autorités continuent de recenser plusieurs cas : une trentaine dans chacun des deux pays pour les 3 dernières semaines. Au total, au 30 juin, 27 154 cas avaient été relevés, dont 11 220 mortels.
Senenews
Le patient est décédé une semaine plus tard. A noter qu’il a été inhumé de façon sécurisée le même jour. « Plus d’une centaine de personnes ayant été en contact avec le jeune homme sont d’ores et déjà placées en quarantaine », continue Tarik Jašarevi?. « Mais il semble bien, comme l’a annoncé le ministère de la santé libérien, que deux d’entre eux soient déjà infectés. Nous sommes dans l’attente d’une confirmation. »
Quid de la transmission ? « Nous avons dépêché des spécialistes sur place », répond Tarik Jašarevi?. « Nous ne connaissons pas encore les détails de cette nouvelle chaîne de transmission. » Mais pour le porte parole, si une épidémie devait repartir, elle serait sans doute de moindre ampleur dans la mesure où « les services sanitaires sur place sont aujourd’hui mieux préparés qu’il y a un an et demi. »
Rappelons enfin que si le Libéria avait été déclaré exempt d’Ebola il y a 2 mois, il n’en va pas de même pour la Guinée et la Sierra Léone, eux aussi gravement touchés par le virus. Bien entendu, le nombre de personnes touchées s’est considérablement réduit au fil des mois, mais les autorités continuent de recenser plusieurs cas : une trentaine dans chacun des deux pays pour les 3 dernières semaines. Au total, au 30 juin, 27 154 cas avaient été relevés, dont 11 220 mortels.
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